Tout au long de sa courte vie, l’abeille à miel connaît différents « métiers » auxquels elle se dévoue avec la même énergie.
Il n’y a pas d’enfance pour celle qui consacre sa vie à la colonie. A peine éclose, la jeune abeille se consacre en effet au nettoyage des alvéoles rendues libres après les éclosions. Le temps de permettre à ses glandes nourricières de parvenir à mâturité. Cela fait, elle est promue « nourrice » et distribue alors de la gelée royale aux jeunes larves.
Du dixième jusqu’au dix-huitième jour de sa vie, cette ouvrière est tour à tour « magasinière » pour stocker pollen et nectar et « ventileuse » pour assurer, par le battement de ses ailes, le maintien de la ruche à la bonne température. La petite abeille, décidément bien courageuse, passe au rang de « cirière » et peut participer à la construction des alvéoles. Cela ne l’empêche pas pendant ses rares moments de liberté d’être « agent de sécurité » en tenant à distance guêpes et faux-bourdons entre autres…
A partir du vingt-deuxième jour et jusqu’à épuisement (la mort survient environ 3 semaines plus tard), l’abeille parcourera les alentours de la ruche dans un rayon de 2 kilomètres pour butiner les fleurs et rapporter nectar, pollen et propolis.
Songez alors lorsque vous verrez des abeilles sur les fleurs de votre jardin, que vous avez affaire à des sacrés petits animaux !
Issus de la prestigieuse collection du Sterling and Francine Clark Art Institute, plus de 70 chefs-d’œuvre sont présentés jusqu’au 31 octobre prochain au Musée des Impressionnismes de Giverny. Vous pourrez y voir des tableaux de Manet, Monet, Pissarro, Sisley, et un ensemble exceptionnel de peintures de Renoir.
Fondé par Daniel J. Terra en 1992, le musée d’art américain Giverny a créé, lors des seize années de son existence, une programmation sans précédent d’expositions, publications, colloques, conférences, résidences d’historiens de l’art et d’artistes, sur le thème de l’art américain.
En 2009, un partenariat entre la Terra Foundation for American Art, le Conseil général de l’Eure, de la Seine-Maritime, la région Haute-Normandie, la Communauté de communes de Vernon et la Ville de Vernon, ainsi que le musée d’Orsay, a permis la naissance du musée des impressionnismes Giverny et remplace le musée d’art américain Giverny. Ce nouveau musée s’attache à étudier l’histoire de l’impressionnisme et de ses suites, ainsi qu’à ses conséquences plus lointaines dans la seconde moitié du XXe siècle.
Le musée des Impressionnismes de Giverny est ouvert tous les jours de 10h à 18h du 1er avril au 31 octobre 2011. Pour voir la vidéo de La Collection Clark à Giverny, cliquez sur ce lien.
Le dessert du moment de mon épouse Charlotte…un vrai délice !
Simple rapide et incroyablement rafraichissant, il ne contient ni colorant, ni conservateur, rien que de bons produits.
Voici la recette :
Ingrédients pour 8 personne(s)
- 500g de fruits (pêches, groseilles, framboises,
cerises, abricots, etc.)
- 50g de sucre en poudre (ou 4 cuillères à soupe
de sirop d’Agave)
- 50cl de Crème Légère de Normandie Elle & Vire
- Une gousse de vanille
- 6/8 petits verres d’environ 8 cm de hauteur
- 6/8 bâtonnets en bois pour glace
Préparation
- Laver, sécher les fruits puis les couper en morceaux.
- Les mélanger au mixer avec le sucre, les graines de vanille et la Crème Légère de Normandie Elle & Vire afin d’obtenir une texture bien lisse.
- Laisser reposer 2 à 3 minutes puis remuer doucement.
- Répartir la crème aux fruits dans les petits verres puis les placer au congélateur 1/2 heure.
- Insérer ensuite, dans chaque verre, un bâtonnet en bois en laissant ressortir seulement 2 à 3 cm. Placer à nouveau les verres au congélateur pendant 4 heures.
- Pour déguster les sucettes glacées aux fruits, préparer un grand bol d’eau chaude, plonger rapidement les petits verres dans le bol (2 sec).
- Tourner alors le bâtonnet, la glace ainsi formée se détachera facilement du verre.
Dans l’histoire de la peinture, ils sont présents dans tous les tableaux de champs de batailles et dans tous ceux de paysages désolés d’hiver. Ils symbolisent la tristesse et le malheur. Suprême opprobre, ils ont même donné leur nom aux dénonciateurs anonymes.
De robe noir jais, croassant fort, souvent en très grand nombre et volontiers charognards, il n’est guère étonnant que du temps où la superstition remplaçait la science, les corbeaux aient reçu une telle charge symbolique, mais totalement injustifiée. En cela, ils ont connu le sort de bien d’autres animaux : chouettes effraies, chauves-souris, crapauds, couleuvres et bien sûr le loup. En réalité pourtant, les corbeaux ont des comportements qui sont ou étaient considérés comme des vertus par les hommes : fidélité, courage, prudence, intelligence et sociabilité.
Fidèles et sociables : les couples restent unis pour la vie. Courageux : il n’hésitent pas à houspiller les rapaces, braver le danger sur les routes pour se nourrir des animaux écrasés. intelligents : jamais ils ne se font happer et le Grand Corbeau possède l’un des plus gros cerveaux de toutes les espèces d’oiseau lui procurant ainsi plusieurs habiletés telles que la résolution de problème ainsi que d’autres processus cognitifs comme l’imitation et l’intuition.
Par corbeaux, on entend communément dans nos régions, trois espèces très différentes : la corneille noire, le corbeau freux et le choucas des tours.
- La corneille noire est parmi ces espèces familières, la plus grande. Elle est entièrement noire, yeux et bec compris.
- Le corbeau freux, noir également, a cependant le bec en partie gris, apparaissant plus long car dégarni de plumes à sa base, ce qui fait paraître une zone de peau nue blanc-grisâtre. Autres signes distinctifs par rapport à la corneille, le front plat et le crâne pointu.
- Le choucas des tours se démarque nettement de ses cousins. Plus petit, il a la nuque gris clair et l’iris gris pâle, très visible dans le masque noir.
Au-delà des critères anatomiques, Il existe une constatation flagrante s’agissant de différences visibles entre le Corbeau et la Corneille : le premier marche tandis que la seconde sautille. Simple constatation me direz-vous, mais néanmoins très efficace pour les reconnaitre !
Corbeaux, Corneilles et Choucas des Tours ont en commun d’être d’excellents « pilotes », capables de toutes les figures de haute-voltige, le plus acrobate étant le choucas des Tours. Celui-ci a adopté les édifices de nos villes où il a trouvé, pour nicher, l’équivalent des falaises naturelles, son milieu d’origine ; il y trouve également une pitance de déchets plus abondante, alors que les campagnes sont largement expurgées des insectes et micro-mammifères par les désastreux traitements à base de pesticide.
Le principal atout, commun à ces trois espèces, est précisément d’être largement omnivores : graines de céréales, baies, fruits. légumes, mollusques, lombrics, insectes à tout stade, oeufs, oisillons, grenouilles, petits mammifères, charognes et détritus divers.
Toutes ces espèces sont constituées d’ oiseaux intelligents. Bien des observations le prouvent et notamment celle qui permet de voir des corbeaux ayant chapardé des noix, les laisser choir de haut sur une surface de rocher ou de béton pour en briser la coque. Se fiant à la fable de La Fontaine, il serait donc assurément hasardeux de miser sur le vainqueur présumé d’une confrontation d’astuce et de ruse entre le corbeau et le renard. Pour toutes ces raisons, les corbeaux, au contraire de bien d’autres espèces dont le déclin est déjà fort avancé, ont les meilleures chances de pouvoir s’adapter à un environnement en mutation profonde. Rien que pour cela, ils méritent bien la paix des braves…
Le thym (encore appelé « serpolet ») évoque la chaleur et les douces odeurs de la Provence.
Plante aromatique par excellence, elle donne un accent méridional à nos plats. Mais ce petit sous-arbrisseau vivace et persistant formant de petits coussins aux senteurs si caractéristiques a bien d’autres qualités médicinales parfois méconnues.
Déjà utilisé à l’époque de l’Egypte ancienne sous forme d’onguents, puis par les Étrusques et les romains pour purifier leur intérieur ou en faire des cosmétiques, le thym n’a plus à faire ses preuves.
Son huile essentielle est un puissant antiseptique, qui en tisane, soigne les infections de la gorge et des bronches. Il est préconisé en cas de refroidissement pour renforcer le système immunitaire et pour aider l’organisme à éliminer virus et bactéries. Son action expectorante permet de faire évoluer les bronchites plus rapidement vers la guérison.
Parallèlement le thym est efficace contre le rhume des foins, il se prend alors sous forme de teinture préparée à base de guimauve (la plante : pas la guimauve bicolore de chez Haribo !), d’Echinacée et de sureau noir ; ½ cuillère à café de cette teinture mélangée dans un verre d’eau chaude trois fois par jour est alors suffisante pour réduire les symptômes de façon significative. Depuis toujours le thym est prescrit aux enfants comme puissant vermifuge car il aide à éliminer les parasites. Certains utilisent d’ailleurs son huile essentielle pour aider à la lutte contre les poux.
A la maison, l’huile essentielle de thym est un substitut naturel aux produits ménagers chimiques : Pour nettoyer un plan de travail, le sol, ou les meubles de cuisine, versez une goutte directement sur un chiffon ou bien une dizaine de gouttes dans l’eau de votre seau. Purification assurée !
Planté à certains endroits stratégiques comme nous l’avons fait au verger du Relais du Vert Bois, il éloigne les parasites comme les limaces et les pucerons et attire les insectes bénéfiques. Vous l’aurez compris : le thym est votre allié dans bien des situations, alors n’hésitez plus à en planter !
Situé à une trentaine de minutes du Relais du Vert Bois et d’une surperficie de 11 hectares, l’arboretum du château d’Harcourt est l’un des plus anciens arboretum de France.
Dans un cadre magnifique, il offre une collection botanique unique de par l’âge, les dimensions, la rareté ou l’originalité de ses sujets : pas moins de 2900 arbres vous attendent pour un merveilleux voyage les yeux au ciel, le nez au vent et la tête dans les nuages…
L’arboretum entoure une vaste forteresse médiévale, dont subsistent une partie du mur d’enceinte et des fossés, ainsi que la façade ouest du château-fort, érigé à partir de la fin du XIIe siècle. La façade Est témoigne des remaniements intervenus à la fin du XVIIe siècle
- Le « plus grand arbre » présent est un sapin Douglas haut d’environ 44 m pouvant atteindre quelques 80 mètres
- Le « plus tentaculaire » est un thuya Plicata ou Thuya Géant de Californie : aussi gros que grand dont la particularité réside dans ses branches basses qui s’enracinent d’elles-mêmes pour mieux repousser.
- L’arbre le « plus chevelu » se nomme l’Arbre à Perruque dont le feuillage caduc pourpre se pare à l’automne de touffes plumeuses virant au rose clair puis au blanc, formant ainsi une sorte de chevelure soyeuse.
- Le « plus appétissant » est le Cercidiphyllum Japonicum, appelé communément « arbre à gâteau » ou « arbre caramel ». Il émane un doux parfum de caramel pour les uns, de gâteau sortant du four ou de confiture de lait pour les autres !
- L’arbre le « plus tortueux » est le Hêtre Tortillard dont le tronc et les branches n’en finissent pas de se tordre pour former un antre dans lequel notre imaginaire s’engouffre volontiers.
- Le « plus doux » est quant à lui est le Sequoia Sempervirens, un arbre majestueux arborant une écorce brune, très fibreuse aux reflets rouges procurant un toucher des plus doux.
La chauve-souris a la particularité d’être le seul mammifère capable de voler…
Elle se déplace dans les airs grâce à une aile formée par une membrane de peau entre le corps, les membres et les doigts.
Elle n’est pas forcément appréciée et pourtant sa fonction dans les éco-systèmes est irremplaçable principalement en terme de régulation des mouches et des moustiques : une seule chauve-souris brune peut facilement capturer 600 moustiques à l’heure !
Dans la culture populaire, l’image de la chauve-souris peut être bénéfique ou maléfique selon les pays. A cause de leur aspect étrange et de leur vie nocturne et, par voie de conséquence, du mystère qui entoure leur mode de vie, elles sont souvent victimes d’idées reçues qui leur ont valu longtemps d’être persécutées par l’homme.
La chauve-souris appartient à la famille des chiroptères (du grec « cheir » : main et « ptéron » : aile) dénombrant plus de 1000 espèces distinctes. En France, on retrouve principalement le Grand Murin et la Pipistrelle, cette dernière étant présente toute l’année dans un bâtiment ouvert à proximité du Relais du Vert Bois. De moins en moins présente dans les pays occidentaux du fait principalement de la prolifération des pesticides, la chauve-souris fait l’objet de mesures de protection très encadrées. Beaucoup d’actions sont d’ailleurs menées en Europe pour favoriser sa survie et notamment des aménagements d’entrées de grottes, de clochers ou encore de ponts sous lesquels sont installées des briques creuses.
Très maladroite à terre, elle se repose en se suspendant aux aspérités par les griffes des orteils. Généralement active la nuit, la chauve-souris est dotée d’un système de direction par émission d’ultrasons ultra perfectionné, parfaitement inaudibles à l’oreille humaine. Les ultrasons qu’elle émet lui permettent de se diriger mais aussi de repérer les insectes en plein vol. Cliquez par exemple sur le lien suivant pour écouter la voix de la pipistrelle : son.
Les chauve-souris vivent en colonies nombreuses de près de 500 individus. Lors de leur hibernation, tout leur organisme vit au ralenti. Le coeur passe alors à 1 pulsation toutes les 3 minutes tandis que la température du corps descend à quelques degrés seulement. Pendant l’hibernation, la chauve-souris va utiliser pour survivre environ 1/3 de ses réserves de graisses accumulées pendant l’été… Au printemps, elles sortent de leurs refuges pour se nourrir et procréer. Le rythme de sommeil d’une chauve souris pendant la belle saison est ponctué de 20 heures de sommeil la tête en bas pour 4 heures de chasse nocturne.
Si une chauve-souris, égarée ou éblouie, est prisonnière dans une pièce de votre habitation : ouvrez les fenêtres, éteignez la lumière et quittez la pièce. La chauve-souris retrouvera son chemin grâce à son sonar…
Qui n’a jamais enfant suçoté le sucre d’une fleur de trèfle ? Une espèce parmi les 250 comestibles et savoureuses, prêtes à colorier nos assiettes. Confitures de rose, bonbons à la violette, beignets de fleur d’acacia et de sureau…tout est permis ! La cuisine des fleurs est présente depuis la nuit des temps et partout dans le monde : comme la glycine et le camélia très cuisinés en Chine et au Japon.
Et si de nombreuses fleurs sont simplement décoratives dans des salades, d’autres ont des goûts plus prononcés évoquant le miel (aubépine), la noisette (coquelicot), l’artichaut (armoise) ou encore l’anis (reine-des-prés).
A contrario attention aux plantes non comestibles et dangereuses pour votre santé : une salade de muguet ou une soupe de digitales peuvent être mortelles ! Autre précaution : il est important de vérifier la provenance des fleurs. Pour être comestible, elles doivent exemptes de pesticides ou produits chimiques.
Les vertus médicinales de ces plantes ne sont plus à prouver : la capucine et la bourrache sont des antibiotiques naturels, les soucis (calendula) sont un excellent tonique pour le foie, et riches en lutéine, ils contrent la dégénérescence maculaire. La lavande calme l’anxiété et la nervosité, la rose est lénifiante : elle aide au repos… Si dans un premier temps, vous pouvez tout simplement décorer vos plats avec ces fleurs, pensez aussi à préparer votre beurre fleuri, vos huiles et vinaigres ou encore vos pâtes à tarte en y incorporant des pétales. Pour l’été, violettes et lavande se laisseront volontiers emprisonner dans un glaçon.
Si vous voulez aller plus loin, il existe une multitude de livres sur le sujet comme la Cuisine des Fleurs ou le Goût des Fleurs. Je vous conseille également le Bistrot des Fleurs à Tourrettes-sur-Loup dans les Alpes Maritimes. Converti à la gastronomie florale, le Chef Yves Terrillon a également créé la marque Pétales et Saveurs pour commercialiser ses créations fleuries-salées.
Grey Owl (1888 – 1938), de son vrai nom Archibald Belaney, est l’un des premiers écologistes canadiens et farouche défenseur de la nature. Les éditions Souffles lui ont récemment rendu hommage en rééditant plusieurs de ses livres dont ses deux premiers ouvrages, « La Dernière Frontière » et « Un Homme et des Bêtes« , publiés respectivement en 1931 et 1932. Ces plaidoyers pour la tolérance et le respect étendus à toutes les formes de vie, bien qu’écrits il y a plus de soixante-dix ans, restent étonnamment contemporains des questions actuelles liées à l’environnement.
La Dernière Frontière est le premier livre de Grey Owl et le plus connu. Le succès de cet ouvrage, on le doit à la vision très personnelle que Grey Owl a de « la dernière frontière », autrement dit le Grand Nord canadien.
Il nous délivre, par la précision de ses descriptions, par son écriture souvent lyrique et poétique, un véritable hymne à la nature. L’esprit de ces vastes immensités qu’il a parcourues, été comme hiver comme trappeur ou guide de chasse et de pêche, souffle tout au long de ces pages.
L’homme y est confronté à des forces phénoménales. La ruse, la force physique, le courage mais aussi l’humilité l’aident à se tirer d’affaire… Mais gare à celui qui romprait ce pacte secret de respect de la nature et de sa faune.
Le Grand Nord: école de vie ? C’est sans doute, aujourd’hui encore, le message le plus perspicace, le plus actuel que nous délivre Grey Owl sur le monde boréal.
Un Homme et des bêtes fait suite à son premier ouvrage au sein duquel percent déjà ses inquiétudes sur les menaces qui guettent la faune de la forêt boréale. Peu à peu converti à l’écologie, il abandonne sa vie de trappeur pour se consacrer à la défense de la nature et des animaux, et notamment des castors. C’est ce combat, sa « croisade » en faveur des castors, que Grey Owl nous conte dans ce second ouvrage.
Passion dévorante, étonnante de la part d’un homme qui les a si longtemps chassés. Devenu leur protecteur, il fonde une petite colonie de castors et y consacre tout son temps. Ce sont ses « enfants chéris ». Il les cajole, passe des heures à jouer avec eux, les gâte avec des sucreries, s’inquiète quand ils sont malades ou disparaissent quelques heures. Sa cabane de « Beaver Lodge » devient une véritable hutte de castors.
Ces ouvrages, qui ont connu un véritable succès planétaire lors de leur publication dans les années 1930, séduiront les amateurs de bonne littérature, les voyageurs, les lecteurs épris de Nature et tous ceux qui souhaitent s’évader.
Plus jeune, ces deux livres qui m’avaient été offerts par mon grand-père dans leur édition originale, m’avaient beaucoup inspiré et fait réfléchir sur le fameux Jardin d’Eden, un paradis terrestre où l’homme, les animaux et les plantes vivaient en parfaite harmonie. C’est bien ce lieu que ma femme Charlotte et moi-même avons tenté de reconstituer des années plus tard, et non sans une certaine folie. Le Jardin d’Eden du Vert Bois : un lieu de quiétude, de calme et de respect où les amis des Hommes et de la Nature sont les bienvenus…
Jusqu’au 30 septembre 2011, venez découvrir la centaine d’oeuvres d’artistes professionnels dans les Jardins de Bois-Guilbert en Normandie, à moins d’1 heure du Relais du Vert Bois.
Lieu dédié à l’art et à la nature, espace de partage artistique, les organisateurs souhaitent faire découvrir diverses facettes de la sculpture contemporaine au public.
Cette 7e Biennale est l’occasion de rendre hommage à Évariste Jonchère et de présenter des oeuvres de 30 artistes qui leur ont la confiance et l’honneur de leur présence.
Un festival de la sculpture pour une promenade poétique au sein d’un jardin primé par l’association des Parcs et Jardins de Haute-Normandie.