Sous l’eau, c’est la jungle ! La série télévisée « Le Peuple des Océans » réalisée comme une version longue du film « Océans » par Jacques Perrin et Jacques Cluzaud montre quelques 200 espèces sous-marine en lutte permanente pour la vie. Cette série entend faire comprendre les relations que chaque espèce animale tisse avec les autres espèces et, également, le milieu physique : c’est à dire l’ensemble de l’écosystème dans lequel l’animal vit.
Mise en images de manière décalée par des plans sublimes réalisés dans des scaphandres silencieux, cette série est diffusée par France 2 les 11, 18 et 25 septembre ainsi que le 2 octobre 2011 à 17h00. A ne pas rater.
Il est connu que les goélands sont curieux, téméraires et surtout, aussi chapardeurs que les pies.
C’est donc bien un goéland qui a réussi à s’emparer de l’Iphone (fonctionnant en mode caméra) d’un vacancier dans le sud de la France… L’appareil, resté en marche, a filmé des images prises invonlontairement en vol par l’oiseau, avec un résultat aussi inattendu qu’original.
Après d’intenses recherches, l’Iphone a finalement été retrouvé et le propriétaire a récemment partagé ces images avec les internautes sur une vidéo visible ci-dessous :
Cui-Cui Chants d’oiseaux est une application Iphone pour les amoureux de la Nature, comportant une base de données de quelques 146 oiseaux et des chants durant jusqu’ à 40 secondes pour chaque oiseau.
Écoutez, identifiez, trouvez quel oiseau est dans le jardin, dans le parc ou vous réveille tous les matins !
Une fonction spéciale permet d’organiser les oiseaux par ordre alphabétique ou par ordre d’importance pour que vous puissiez apprendre en premier les chants des oiseaux les plus communs, puis vous concentrer ensuite sur les oiseaux qui visitent moins souvent votre jardin. Ils peuvent être également organisés par type de chant, pour que vous puissiez, par exemple, comparer les « hululements » aux « roucoulades ».
Vous pouvez également vous essayer à un test d’évaluation de connaissances ou sélectionner la fonction diaporama pour voir et écouter certains oiseaux en particulier.
D’autres fonctions sont par ailleurs disponibles:
• Créer une liste des favoris pour les trouver facilement.
• Changer de pays pour voir et écouter des oiseaux des autres régions du Nord-Ouest de l’Europe.
• Obtenir plus d’informations sur l’oiseau qui vous intéresse en cliquant sur le lien Wikipedia associé (vous aurez alors besoin d’une connexion internet).
Entièrement disponible en français, c’est une application informative et ludique que le Relais du Vert Bois recommande pour tous les âges…
Pour capturer l’essence de la nature sauvage européenne, pas moins de 69 photographes de toutes nationalités ont sillonné routes et chemins, sondé les profondeurs des mers et des océans, bravant les conditions les plus extrêmes de chaleur ou de froid. Ce voyage dans l’Europe sauvage et secrète nous entraîne dans 48 pays d’Europe dont l’Albanie, le Portugal, la France ou encore la Slovénie.
En fouillant dans les livres de cuisine familiaux, Charlotte et moi nous sommes récemment essayés à la réalisation d’une limonade rose-framboise.
Pas très compliqué me direz-vous, mais il s’agit malgré tout d’un cocktail aussi simple qu’idéal, à la couleur et au goût rafraichissant pour profiter des premiers jours de l’été indien :
1. Ecrasez fortement 1 barquette de framboises.
2. Transvasez le tout dans une bouteille en verre d’1 litre.
3. Ajoutez du sirop de rose à convenance (pas trop quand même ).
4. Versez de la limonade artisanale au sucre de canne bio
5. Réservez au réfrigérateur une petite heure.
6. D.E.G.U.S.T.E.Z !
Ce n’est pas une, mais deux balades en canoë sur l’Eure que propose Randonn’Eure.
Le matin, la promenade en canoë vous emmène sur environ 10 km de Ménilles jusqu’à Autheuil-Authouillet, la base principale d’activité.
Si vous envisagez de réaliser votre balade l’après-midi (ce qui a été notre cas la semaine passée), celle-ci se fait depuis Autheuil-Authouillet jusqu’à Heudreville-sur-Eure, 10 km en aval (environ 2h30 de navigation). Vous avez moyen de déjeuner sur place dans un petit restaurant de bonne qualité à l’ambiance de guinguette. Radonn’Eure assure le transfert jusqu’au lieu de départ le matin et votre rapatriement à l’arrivée l’après-midi.
Une fois sur l’eau, le moulin de Cocherel, les champs de blé de Chambray et de belles demeures isolées aux immenses jardins défilent sous vos yeux. Entre Ecardenville et La Croix-Saint-Leufroy apparaît un petit bras de rivière très sauvage où vivent hérons, martins-pêcheurs, cygnes, foulques, ragondins et rats musqués. Sur la fin de la balade, vous passerez au plus près du majestueux manoir d’Heudreville. La navigation est tranquille, car l’Eure est une rivière très calme, avec quelques courants parfois prononcés. Amusant : vous empruntez deux passes réservées aux canoës au travers de deux toboggans d’eau d’un dénivelé de 1,50 m sur une distance de 3 mètres. Frissons et éclats de rire garantis.
Nous vous recommandons vivement cette superbe balade sur l’eau qui n’est pas sans rappeler le spectaculaire marais poitevin. A moins de 25 minutes du Relais du Vert Bois, sa planification durant votre séjour n’en saura que plus aisée !
Certains insectes « chantent », mais chacun d’eux a sa propre méthode.
Ainsi, ce sont les mâles qui chantent chez les cigales (dès que la température est suffisamment élevée – environ 25 °C) en faisant vibrer des expansions situées de chaque côté de leur abdomen, appelées cymbales. La cymbalisation est le résultat de la déformation d’une membrane (un peu comme le couvercle d’un bidon) actionnée par un muscle. Le son produit est amplifié dans une caisse de résonance et s’évacue par des évents. La fréquence et la modulation de la cymbalisation caractérisent les différentes variétés de cigales. Le but de cette cymbalisation est d’attirer les femelles de la même espèce.
Les grillons, quant à eux, frottent leurs tibias sur une nervure de leurs ailes antérieures rigides, appelées élytres, de la même manière qu’un archet sur les cordes d’un violon. Sauterelles, criquets et courtilières (encore appelées « taupes-grillons »), utilisent la même méthode… On appelle cela la stridulation.
Dans tous les cas, il s’agit de chants très mélodieux pour les amoureux de la sieste que nous sommes au Relais du Vert Bois !
Occupés par les vignes durant les siècles passés, les coteaux de la vallée d’Eure sont aujourd’hui inscrits à l’inventaire Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Floristique et Faunitistiques (ZNIEFF).
En effet, leur exceptionnelle diversité biologique en a fait l’un des paysages les plus remarquables de Haute Normandie et les côtes de Vauvray nous offrent la possibilité d’en admirer la beauté en spectateur privilégié, à deux pas du Relais du Vert Bois.
Au prix de quelques efforts à travers des sentiers balisés, un étonnant panorama vient alors se dévoiler grâce aux élégantes courbes de la Seine bordées par d’innombrables orchidées et la forêt qui permet à de nombreux animaux de s’y côtoyer…
A l’horizon, vous apercevrez les vestiges du passé, à l’instar du château Gaillard, une gigantesque forteresse médiévale bâtie au XIIe siècle et qui surplombe la vallée. Elle constitue un des trésors du Vexin normand et a été classée au titre des monuments historiques en 1862.
Enfin, le pont à arche unique ne manquera pas d’attirer votre attention. Inauguré en 1923, puis détruit pendant la seconde guerre mondiale, il fut finalement reconstruit et remis en service en 1947.
Une promenade dépaysante, pleine de romantisme, quelle que soit la saison !
Tout le monde connait les trois petits cochons et pourtant personne ne sait qu’ils existent vraiment. Personne sauf Dominique Garing.
Le réalisateur de « La vie sauvage des animaux domestiques » est en effet parvenu à réunir dans le même film une dimension documentaire, au plus près de la vie réelle des animaux avec ce qu’elle comporte de tragique et de cruel et une part de fiction pleine d’innocence et de fraicheur à même de fédérer un public aussi large qu’éclectique.
Ainsi, la vie porcine est, certes, filmée de la naissance au départ pour l’engraissage qui symbolise de manière habile le funeste sort de ces jambons sur pattes, mais la jeunesse des porcelets, dont trois se distinguent par leur appétit de découverte, donne lieu à une scène de baignade et de course dans les champs de blé digne des grands classiques du dessin animé ou du conte.
Du conte, La vie sauvage des animaux domestiques en a d’ailleurs gardé la narration et c’est sans nul doute sa plus grande prouesse. La voix d’André Dussollier qui accompagne le spectateur dans les méandres de la ferme est un pur délice pour les oreilles. C’est elle qui au travers des mots drôles et attachants du commentaire signé Marie-Pierre Duhamel Muller permet d’humaniser les animaux pourtant filmés dans des situations bien réelles et dénuées de tout anthropomorphisme. Là ou un simple documentaire verrait une poule à la recherche d’espace pour pondre, La vie sauvage… préfère parler « de crise du logement sans précédent » chez les gallinacés. Le ton est donné.
Vif et authentique, le rythme de ce film singulier interpelle également. Qu’importe les règles élémentaires de la dramaturgie ou les exigences de la fiction, le dindon n’aura jamais la vivacité de la souris. Le chat sera toujours moins alerte que le renard et c’est tant mieux car ce sont toutes ces petites imperfections qui rappellent l’authenticité des comportements filmés. Certains pourront reprocher la longueur de quelques scènes, mais il faut bien se rendre à l’évidence que la célérité n’est pas la raison de vivre de l’escargot et que suivre un hérisson nécessite certaines aptitudes dont l’impatience et l’empressement sont définitivement exclues !
La musique souligne d’ailleurs à merveille les particularités de chacune des espèces. A chaque animal correspond ainsi un thème dont l’orchestration évolue en fonction de la dramaturgie qui lui est associée. Cet ingénieux système permet de donner à une course poursuite entre un chat et une souris, somme toute banale, des allures de cartoon à faire pâlir de jalousie Tom et Jerry.
Associant avec adresse la rigueur du documentaire à la folie de la fiction, La vie sauvage des animaux domestiques est un film aussi plaisant que pédagogique dans lequel l’ennui n’a décidément pas sa place. Bref, l’immersion à la ferme dans la peau d’un chat ou d’une poule vaut vraiment le détour, ne serait-ce que pour le plaisir d’un face à face de quelques instants avec un hérisson. Rare.