Le 21 janvier dernier a eu lieu au parc zoologique Hellabrunn de Munich en Allemagne une scène très triste mais particulièrement émouvante.
Atteint d’une malformation cardiaque depuis sa naissance, une petite femelle éléphanteau répondant au nom de Lola a succombé à sa maladie lors du scanner qui devait être réalisé avant l’opération. Face à cela, l’équipe de vétérinaires a décidé de ramener le petit corps sans vie dans l’enclos afin que le troupeau puisse dire adieu à leur congénère de quelques mois.
Comme le montre la vidéo postée sur YouTube, tous les éléphants de l’enclos sont alors venus autour de la dépouille de Lola pour la toucher délicatement avec leur trompe, le tout dans un silence à la fois assourdissant et émouvant. Auparavant, c’est la mère de l’éléphanteau qui avait eu le droit de rester quelques minutes seule avec son enfant.
Parfois utilisées pour leurs vertus médicinales, elles peuvent aussi être mortelles et doivent être manipulées avec précaution. Tour d’horizon de dix végétaux plus dangereux qu’on pourrait le croire.
L’aconit
Les propriétés toxiques de cette plante originaire des régions montagneuses de l’hémisphère nord sont connues depuis bien longtemps. Les Aïnous, une ethnie arrivée au Japon aux environs de l’an 1300 avant Jésus-Christ, utilisaient l’aconit pour fabriquer des flèches empoisonnées servant pour la chasse et la guerre.
Son ingestion par l’Homme est mortelle. L’aconit contient des neurotoxines qui entraînent des complications gastro-intestinales et une paralysie du cœur et des poumons
L’hellébore
Provenant d’Europe et de l’ouest de l’Asie, l’hellébore se retrouve dans beaucoup de jardins particuliers du fait de ses qualités décoratives. Il convient tout de même de la manier avec prudence, cette plante contient des glucosides qui agissent sur l’activité cardiaque et les artères. Elle était auparavant utilisée pour provoquer les avortements.
La cigüe
Plante massivement présente en Europe, la cigüe contient plusieurs alcaloïdes toxiques qui provoquent des troubles nerveux et respiratoires et une paralysie du diaphragme. Même si l’ensemble de la cigüe est vénéneuse, les racines sont moins toxiques que les feuilles et la tige, et les fruits sont mortels s’ils sont cueillis avant leur maturité.
Cette plante qui dégage une odeur désagréable est parfois prescrite comme analgésique, antispasmodique ou comme anaphrodisiaque.
La belladone
La belladone est peu répandue en France et les cultures artificielles servent l’industrie pharmaceutique. Présente en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-unis, cette plante vivace de la famille des solanacées et pouvant atteindre un mètre de hauteur contient trois alcaloïdes, l’hyoscyamine, l’atropine et la scopolamine, des molécules toxiques qui ingérées à forte dose sont mortelles pour l’Homme.
La datura
La datura est l’une des solanacées les plus vénéneuses qui renferme les mêmes alcaloïdes que la belladone. Quelques grammes de ses feuilles provoquent chez l’Homme adulte des délires, des convulsions et une paralysie des membres qui entraînent la mort. Consommée à faible dose, la datura provoque entre autres des vertiges, des migraines et des troubles visuels. Cette plante est toutefois utilisée par la médecine pour soigner l’hystérie, l’épilepsie ou encore les tremblements dus à la maladie de parkinson.
La jusquiame
Déjà connue des Babyloniens et des Egyptiens, cette plante provoque un assoupissement et des hallucinations terrifiantes. Comme la belladone et la datura, elle contient des alcaloïdes qui expliquent sa place au tableau A des substances toxiques (qui mesure la toxicité des produits chimiques selon le code de la santé publique).
La jusquiame est utilisée pour soigner entre autres les tremblements, les névroses et les convulsions.
La brugmansia
Surnommé « trompette des anges », la brugmansia peut mesurer jusqu’à 50 centimètres de large et 35 centimètres de long au niveau des ouvertures. L’ingestion de cette plante qui contient des niveaux élevés de scopolamine et d’atropine, deux alcaloïdes, est mortelle pour l’Homme. Originaire d’Amérique du sud, la brugmansia peut afficher des fleurs blanches, jaunes, oranges ou même roses.
Actaea pachypoda
Présente dans le nord-est des Etats-unis, l’actae pachypoda est cancérigène et, du fait de son effet sédatif sur les muscles cardiaques, elle entraîne une mort rapide.
Aussi appelée « doll’s eyes » (yeux de poupées) par les anglo-saxons, cette plante donne naissance à un fruit minuscule, d’un centimètre de diamètre environ, au milieu duquel figure un point noir faisant penser à un œil. Bien que l’ensemble d’actae pachypoda soit toxique, c’est ce fruit qui concentre le plus de toxines et qui est d’autant plus dangereux que son goût est sucré.
L’asclépiade de Curaçao
Cette plante vivace originaire des régions tropicales d’Amérique du sud produit un latex blanc toxique autrefois utilisé pour la fabrication de flèches empoisonnées. Elle contient des alcaloïdes mortels s’ils sont ingérés à forte dose.
L’asclépiade de Curaçao doit son nom au dieu grec de la médecine Asclépios. Elle est d’ailleurs toujours utilisée à des fins médicinales en Afrique du sud, le latex blanc lorsqu’il est déblayé devenant un sirop vermifuge. Ses feuilles ont en outre des vertus cicatrisantes.
Le ricin commun
Cultivé pour l’ornement dans le monde entier et produisant une huile répandue dans l’industrie alimentaire et cosmétique, le ricin commun est mortel pour l’Homme s’il est ingéré en grande quantité. Venant d’Afrique de l’est et d’Inde, il est l’une des plantes les plus toxiques. Une seule de ses graines est suffisante pour provoquer la mort d’un homme par déshydratation et ce, de façon irréversible.
Voilà près d’une quinzaine d’années que les océanographes tirent la sonnette d’alarme : les pêcheries industrielles attrapent trop de poissons et les chaluts dévastent les fonds marins. La pêche n’est pas «durable».
Autrement dit, les pêcheurs scient la branche sur laquelle ils assoient leur activité. Aucune zone des océans n’est épargnée. Si les captures continuent au rythme actuel, les pêcheurs ne ramèneront bientôt plus dans leurs filets que des méduses ou des crevettes. Les conséquences pour l’ensemble du milieu marin sont multiples et partout déjà perceptibles.
Les poissons ne sont pas les seuls victimes de la surpêche : les oiseaux de mer en souffrent aussi.
Selon une étude internationale pilotée par l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) et menée sur sept écosystèmes marins à travers le monde et 14 espèces d’oiseaux côtiers, les oiseaux prélèvent autant de poissons que les marins : environ 80 millions de tonnes par an. Utilisés pour la production de farines et d’huiles pour l’aquaculture, les petits poissons côtiers (sardines, anchois, harengs et capelans) représentent plus de 30% des prises mondiales aujourd’hui. Et justement, les Fous de Bassan, sternes, macareux, mouettes, manchots, etc. se nourrissent principalement de ces poissons… qui sont victimes de surpêche.
Il suffit que les stocks de ces poissons déclinent d’un tiers pour observer un véritable écroulement de la capacité de reproduction des oiseaux de mer en question. En bout de chaîne, c’est l’équilibre de tout l’écosystème qui est menacé. Ce constat est valable universellement : de l’Arctique à l’Antarctique et de l’Atlantique au Pacifique, lorsque l’abondance de poissons diminue, les oiseaux marins cessent de se reproduire.
Les travaux de l’IRD sont précieux et offrent enfin un chiffre de référence pour une gestion durable des pêches, en vue de préserver ces populations d’oiseaux, souvent en danger, et de maintenir la bonne santé des milieux marins.
Il existe d’autres rapports tout aussi instructifs dénonçant les effets particulièrement néfastes de la surprêche. Je vous conseille ainsi la lecture du rapport intitulé « Marée amère – pour une gestion durable de la pêche » ou bien encore le rapport sur la pêche illégale publiée par Greenpeace.
Parfois l’on remarque sur certains arbres des « coulées » qui tâchent l’écorce.
Pour s’opposer à des tentatives d’intrusion d’un champignon, l’arbre peut déployer ses propres armes défensives. Face aux maladies, les conifères, par exemple, produisent de la résine pour engluer l’ennemi et l’empêcher de gagner du terrain. D’autres vont fabriquer de la gomme pour limiter d’une autre façon la progression de l’intrus. Les aulnes et les chênes d’Amérique sécrètent des composés anti-fongiques constitués de petits écoulements noirâtres visibles à la base du tronc.
Les arbres ont également d’autres parades pour refouler certains insectes parasites. Les résineux ont en réserve dans leurs tissus des petites poches de résine. En tentant de s’introduire, les foreurs d’écorce comme la pyrale du tronc ou les scolytes du pin, percent ses fameuses poches en ayant pour conséquence immédiate l’inondation de leurs galeries. Des écoulements abondants, collants et garnis de sciure colorée vont alors suinter et se dessécher à l’extérieur de l’écorce : il ne faudra pas les confondre avec ces petites mouchetures éparses de résine repérées sur certaines écorces qui évoqueront plutôt un manque d’eau chronique ou une inadaptation aux conditions environnantes : des signes visibles d’un mauvais état général de l’arbre.
Les bactéries peut aussi parfois s’exprimer à la surface de l’écorce : de longues traces humides, fluides et sombres s’échappent d’une plaie de taille ou bien d’une petite fissure. Il s’agira d’une colonie de bactéries ayant élu domicile dans le bois profond et sera responsable du phénomène dit du « coeur mouillé ». L’arbre semble « pleurer », mais il n’y a malgré tout pas d’inquiétude à avoir, s’agissant d’une réaction naturelle…
Comment réagir face à tous ces signes ?
La règle d’or est d’éviter de contrarier les mécanismes de défense des arbres. Abstenez-vous de gratter et d’éliminer ces écoulements et concrétions collantes.
Si les branches situées au-dessus de ces petits chancres suintants ou gommeux finissent par se dessécher, vous les couperez rapidement et les brûlerez. En revanche, si le tronc est touché, il ne reste plus qu’à espérer que l’arbre parvienne à se défendre tout seul efficacement…
Après le python, les habitants de Miami doivent faire face à un nouvel envahisseur : l’escargot géant d’Afrique. A côté d’eux, les petits gris et autres escargots de Bourgogne, qui grignotent les salades des potagers européens, passeraient pour des petits joueurs. Alors que l’animal menace l’agriculture de la région, des mesures d’éradication sont déjà en place.
Ils sèment la terreur à Miami. Envahissent les jardins et les parcs de la plus grande ville de Floride. Les escargots débarquent, et ils sont énormes. Jusqu’à 20 centimètres de long (la longueur d’une main d’adulte) et 10 centimètres de diamètre. Autant dire qu’ils tiennent à peine dans la main. Actuellement à pied d’œuvre, les inspecteurs du Département de l’Agriculture de Floride ont capturé pas moins de trente-cinq mille escargots géants depuis le début de l’invasion, en septembre dernier. Une habitante de la ville assiégée en aurait même délogé 583 de son jardin ! Mais malgré les efforts déployés pour les intercepter, les escargots se sont rapidement propagés et ont envahi 12 autres zones de la région.
Les gastéropodes ont été identifiés comme étant des escargots géants d’Afrique. Nul ne sait comment ils sont arrivés ici, mais ce n’est pas une première : l’animal aurait déjà envahi Miami par le passé, ainsi que la Martinique et la Guadeloupe. Le problème, et l’explication de cette rapide propagation, réside dans l’extraordinaire capacité de reproduction de ces animaux. Outre une très longue espérance de vie, l’escargot géant peut en effet pondre 1200 œufs par an.
Mais en plus des désagréments liés à leur passage (filets de baves et autres excréments envahissent les jardins), les escargots géants d’Afrique seraient également dangereux. A travers la présence d’un petit parasite, leur bave pourrait ainsi transmettre une forme non-mortelle de méningite, mais provoquant de violents maux de ventre. Ils représentent aussi une menace pour l’agriculture qui inquiète les autorités.
« S’ils s’installaient pour de bon, ils pourraient dévaster l’agriculture », a mis en garde le porte-parole du Département de l’Agriculture de Floride, sachant que le secteur primaire constitue dans l’Etat la deuxième activité économique après le tourisme. Pas moins de 500 types de plantes et de fruits sont exposés, et les gastéropodes se nourrissent également de l’enduit des murs des maisons, d’où ils puisent le calcium nécessaire à la solidification de leur coquille.
Un programme d’élimination a donc été mis en place pour débarrasser Miami de ses nuisibles. Une fois capturés, les escargots sont tués. Si un contrôle de leur prolifération est indéniablement nécessaire, les méthodes employées sont cependant discutables sur le plan moral, les animaux étant plongés dans de l’alcool ou placés dans de la glace afin qu’ils meurent d’hypothermie.
Et alors qu’ils sont exterminés aux Etats-Unis, les escargots géants sont élevés en Afrique, prisés qu’ils sont pour leurs protéines, et le fer et calcium qu’ils contiennent. Leur sort varie donc du tout au tout suivant de quel côté de l’Atlantique ils se trouvent.
Auteur, réalisateur (avec le magnifique film Himalaya, enfance d’un chef) et photographe, Eric Valli est parti 2 ans en périple à travers l’Amérique à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont décidé de vivre déconnectés de notre système pour retrouver leur liberté fondamentale.
Le livre « Rencontres Hors du Temps » raconte les histoires de « Robinsons » comme l’auteur les nomme : Colbert, un ancien « golden boy » devenenu trappeur. Lynx, une ex-punk, femme charismatique qui vit depuis 20 ans dans une yourte et qui pêche, cueille et chasse pour se sustenter. Mason, un fermier qui vit en autarcie…
Ils vivent en Amérique mais « sont sortis du système » refusent de consommer, de polluer et d’exploiter davantage.
« Une vie plus simple et plus locale » : cette vérité résonne de plus en plus comme une évidence dans nos têtes; et pour certains, plus qu’une prise de conscience, c’est devenu une façon de vivre.
En 2010, ils étaient environ 520 000 à « vivre leur idéal », plus près de la nature, fait de beauté, de folie, de naïveté et de contradictions, mais aussi de sagesse et de réalisme, insiste Eric Valli qui ajoute que « ces gens ont cette aura, cette dignité de ceux qui vivent en accord avec eux-mêmes ».
Remarquablement illustré par des images de terrain et profondément humain, ce livre, à la manière de reportages, nous fait également réfléchir sur nos valeurs et nos choix de vie. Un mal…ou plutôt un bien nécessaire.
J’ai vraiment beaucoup apprécié ce livre dont la description de paysages grandioses et les scènes de « belle nature » m’ont rappelé nos escapades dans le grand Ouest et plus précisément dans le Montana et le Wyoming. Charlotte et moi étions alors partis 3 semaines à cheval…
Symbole de nos forêts sauvages et plus grand galliforme sauvage de montagne en Europe, le magnifique Grand Tétras (ou grand coq de bruyère) a gagné en Ariège.
L’extension de la station de ski « Mijanès » n’aura pas lieu. Le Tribunal de Toulouse a estimé qu’une partie du projet aurait un impact négatif sur la population de ces oiseaux forestiers de montagne, dont l’espèce est déjà classée vulnérable par l’Union International pour la Conservation de la Nature (UICN). A la fois extrêmement farouche et vulnérable, le Grand Tétras subsiste en France dans les Pyrénées, les Vosges, le Jura et les Cévennes après avoir disparu il y a peu dans les Alpes.
Le téléski et les trois nouvelles pistes ne verront donc pas le jour et permettra ainsi d’épargner la zone d’hivernage du Grand Tétras, les activités de loisir hivernales étant l’une des causes majeures de sa disparition.
A la stupeur de toutes les associations environnementales, le gouvernement de Nicolas Sarkozy a permis, à la suite d’une récente rencontre de ce dernier avec les chasseurs, la poursuite de la chasse au Grand Tétras. Un cadeau totalement « illégal » en raison de son statut d’espèce en danger… La justice rétablira sans aucun doute cette hérésie à l’issue des prochaines élections présidentielles.
Si vous désirez en savoir un peu plus sur le Grand Tétras, procurez-vous le très beau livre de Jacques Rime intitulé simplement « Grand Tétras ».
A l’heure où une salade verte et des tomates en plein hiver ne choquent plus personne, il est temps de réapprendre le rythme naturel des saisons !
Les rayons des supermarchés regorgent de fruits et légumes en provenance des quatre coins de la planète et nous pouvons consommer à n’importe quelle saison. C’est bien là le problème ! En achetant des fruits et légumes importés de l’autre bout de la planète, c’est surtout l’énergie globale nécessaire à leur transport que l’on consomme.
Il n’est nul besoin de rappeler que consommer des fruits et légumes est essentiel pour notre santé. On oublie simplement qu’ils répondent à un besoin de saison et que les méthodes de conservation restent déterminantes pour les bienfaits qu’ils vont apporter. Alors, manger des fruits et légumes de saison c’est bien et s’ils sont locaux c’est encore mieux. On est assurés que la culture s’est faite dans le respect du rythme naturel des saisons, (ce qui élimine les cultures sous serres dispendieuses d’énergie et de produits phytosanitaires) tout en contribuant au maintien de la biodiversité végétale : rose de berne, panais, amarante comptent parmi les variétés anciennes que vous découvrirez dans les magasins spécialisés.
Choisir des produits de qualité, au bon moment et au meilleur prix, c’est croquer les fraises en mai, profiter des aubergines en août, ne pas rater les châtaignes en octobre et apprécier les oranges en décembre !
Pourquoi favoriser les fruits et légumes bio de saison ?
Pour leur goût : Ils arrivent à maturité naturellement et leur saveur ne peut pas être égalée par les fruits et légumes mûris après cueillette.
Pour notre santé : Les fruits et légumes hors saison mûrissent en général durant le transport et arrivent dans l’assiette du consommateur après avoir perdu près de 70% de leurs vitamines. De plus, la durée de vie de ces fruits est prolongée par irradiation. Ce procédé est inquiétant quand on sait que ce processus diminue scientifiquement la fertilité et la durée de vie.
Pour leur prix : transporter des fruits et légumes coûte cher et les prix s’en ressentent à l’achat. Un fruit ou un légume de saison vous coûtera donc en moyenne 2 fois moins cher. Les produits bio étant sensiblement plus chers, on prend généralement garde à ne consommer que ce que l’on a besoin, en évitant ainsi un éventuel gâchis !
Pour notre planète : Moins de transport égal moins de pollution et plus de respect de la nature et des saisons pour la culture des végétaux. C’est aussi limiter l’utilisation excessive des engrais et pesticides.
Convaincus ? C’est le moment de jeter un œil aux légumes et fruits de saison et de vous régaler en découvrant de nouvelles saveurs… Lors de votre prochain séjour au Relais du Vert Bois, n’hésitez pas non plus à vous rendre à la Biocoop de Louviers où vous serez certain de trouver les meilleurs fruits et légumes de saison. Enfin, pour savoir quels fruits et légumes sont à consommer en fonction des saisons, découvrez les liens internet suivants :
- Les fruits & Légumes de l’hiver
- Les fruits & Légumes du printemps
- Les fruits & Légumes de l’été
- Les fruits & Légumes de l’automne