LES CHATS EN FRANCE

Rachael McKenna aime les chats, et ça se voit ! Dans « Les Chats de France », elle est partie à leur rencontre dans toute la France pour les photographier dans leur environnement.

A l’aube, Rachael a arpenté les ruelles de petits villages endormis. Elle a visité des châteaux, des maisons, des jardins, des forêts - qui servent tous de décors naturels à ses images. Alanguis, joueurs, curieux, pressés, rêveurs, les chats photographiés par Rachael racontent tous une histoire.

Les brumes du petit jour, les lueurs d’un coucher de soleil contribuent à la beauté des ambiances créées par Rachael, photographe néo-zélandaise Rachel McKenna installée depuis peu avec sa famille dans le sud de la France.

Les Chats de France est un livre magnifique et authentique.

 

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VIVE LE POTIRON !

Origine d’Amérique du Sud et débarqué en Europe après les voyages de Christophe Colomb, le potiron appartient à la famille des cucurbitacées où se mêlent melons, concombres, pastèques et courges.

Il ne faut pas confondre les potirons et les citrouilles qui appartiennent à deux espèces différentes. La citrouille est de forme ronde et de couleur orange. Son pédoncule est dur et fibreux, avec cinq côtés anguleux, sans renflements à son point d’attache.

Sa chair est filandreuse. C’est elle que l’on utilise à Halloween.

Le potiron est plus ou moins aplati et arborent des formes différentes : oblongue, en poire, en toupie ou en turbans et de toutes les couleurs de l’orange rougeâtre au vert foncé. Son pédoncule est tendre et spongieux, cylindrique et évasé près du fruit. La chair du potiron est plus sucrée, savoureuse et moins filandreuse que celle de la citrouille; sa peau épaisse cache une chair savoureuse et riche en béta-carotène, qui lui donne sa belle couleur safranée. Le potiron possède des grandes feuilles et de belles fleurs jaunes campanulées.

Composé presque exclusivement d’eau (plus de 92 %), le potiron n’est, par conséquent, ni très énergétique, ni très calorique (20 kcal pour 100 g), mais s’avère par contre très efficace dans la prévention de calculs rénaux. Riche en potassium (323 mg pour 100 g), il est excellent pour la régulation de la pression artérielle et la transmission de l’influx nerveux au cerveau, ce qui en fait un allié idéal contre l’hypertension. De par sa faible teneur en sodium, il convient parfaitement aux régimes sans sel, sa consommation participant, entre autres, à un bon fonctionnement intestinal et à la diminution du risque de certains cancers et maladies cardio-vasculaires.

On peut les préparer de très nombreuses manières comme légume ou comme dessert : en soupe, en purée, en gratin, en tarte, en tourte, en confiture….et même en glace !

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NOURRIR LES OISEAUX A L’APPROCHE DE L’HIVER

Les premières neiges ou gelées, les premiers frimas transforment la vie des oiseaux de nos jardins en véritable parcours du combattant ! L’hiver est une période critique pour les oiseaux. En effet, les basses températures les obligent à une dépense accrue en énergie. Et plus que le froid, c’est la faim qui représente une menace. La présence de neige ou de glace entraîne une raréfaction de la nourriture, et la diminution des jours abaisse la possibilité pour la gent ailée de trouver de quoi s’alimenter.

Pour affronter les rigueurs de l’hiver, nos amis à plumes ont besoin de davantage de nourriture, carburant nécessaire pour conserver la chaleur de leur corps, ce qui, paradoxalement, est plus difficile à trouver pour eux : la gelée, la glace et la neige les empêchent d’atteindre le sol ou l’eau.

Durant toute la mauvaise saison, les oiseaux dépensent énormément d’énergie pour conserver leur température et rester en vie. Par exemple, en une seule nuit, une mésange peut perdre jusqu’à 10% de son poids !

Chacun peut, près de chez lui, aider les oiseaux à passer ce cap difficile, en installant des mangeoires (en hauteur, pour le protéger de la prédation des chats) avec une nourriture appropriée. Pour se nourrir, les oiseaux ont besoin d’aliments riches en hydrates de carbone et en graisse, afin d’élaborer des réserves de lipides indispensables pour résister aux longues et froides nuits d’hiver. Mais attention, toute nourriture n’est pas bonne à donner aux oiseaux.

Quelle nourriture utiliser ?
Les aliments riches en lipides et donc en énergie seront très appréciés par de nombreux oiseaux :
- la graisse : margarine, beurre, saindoux, suif, lard, non salés, seuls ou en mélange avec des graines.
- les graines de tournesol
- les cacahuètes : non salées et non grillées, décortiquées ou en coques
- les fruits secs: noisettes, noix, amandes décortiquées voire concassées
- Les petites graines, indispensables aux passereaux à bec fin (rougegorge, accenteur mouchet…) : millet, avoine, chènevis (chanvre), alpiste, navette, pavot… ou les flocons d’avoine;
- Le maïs concassé, le blé, et l’orge;
- Les fruits : pommes, poires, pour les merles et grives ; noix de coco fraîche pour les mésanges et raisins secs en général;
- Vers de farine : pour les insectivores (rouge-gorge, accenteur mouchet, troglodyte, roitelet). Pour information, leur élevage se pratique dans un petit terrarium contenant du son humidifié.

Ne jamais donner :
- d’aliments salés
- de pain sec ou de biscottes, de déchets de pâtisserie, de noix de coco desséchée, qui gonflent et provoquent des troubles digestifs (jusqu’à la mort possible de l’oiseau).
- de lait
- de larves de mouches (asticots), très résistantes et pouvant perforer l’estomac des oiseaux
- de graines de lin ou de ricin qui sont toxiques.

Ne jamais oublier, non plus, de leur fournir un abreuvoir, maintenu libre de glace, pour se désaltérer et se baigner (à renouveler fréquemment). Par temps froid, les oiseaux se baignent pour maintenir leur plumage en bon état afin de mieux conserver la chaleur corporelle. Sans eau, les oiseaux diminuent leurs capacités de vol et les qualités isolantes de leurs plumes.

Placez votre mangeoire dans un endroit abrité des vents dominants et plutôt ensoleillé, bien dégagé pour que les oiseaux puissent surveiller l’arrivée de prédateurs et suffisamment proche d’arbres où ils pourront se percher. Nourrir les oiseaux permet à chacun de les observer de près, d’apprendre à les reconnaître, d’étudier leur comportement ou tout simplement de contempler un spectacle magnifique. Des dizaines de nichoirs et de mangeoires sont ainsi disséminés un peu partout au Relais du Vert Bois, favorisant ainsi l’observation de nos amis ailés !

Pour conclure, rappelez-vous que le nourrissage doit se faire avec constance et régularité : si on arrête le nourrissage en pleine période de grand froid, les oiseaux, devenus dépendants, sont condamnés. En revanche, dès que le printemps est revenu, laissez-les retrouver leurs habitudes alimentaires naturelles !

Nichoirs et mangeoires sont disponibles à la boutique de la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO).

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COLLECTION AUTOMNE-HIVER

Journées réduites à leur plus simple expression, ciels grisâtres et laiteux, température en chute libre, moral en berne…Si le deuil de l’été vous rend chagrin, sortez de chez vous avec une tenue adaptée et laissez-vous séduire par la magie des spectacles de la « collection automne-hiver »…

Flamboyants, les arbres déclinent leur palette d’étincelles fauves et se préparent à vivre sur leurs réserves. Grande consommatrice d’énergie, la photosynthèse diminue, la chlorophylle déserte les feuillages et les pigments orange, jaunes et vermillon rendent un dernier hommage à la nature depuis le début de l’automne.

Emportées par le vent, les dernières feuilles d’automne entament leur ronde pour recouvrir le sol et sa végétation qui se prépare à entamer un hivernage de plusieurs mois. Doucement, l’hiver s’approche à pas feutrés, le monde végétal s’assoupit doucement. Avec un peu de chance, la neige tombera à gros flocons pour Noël…la forêt, les sous-bois et les allées autour du Relais du Vert Bois se pareront de blanc pour le bonheur des promeneurs : la nature offre parfois des spectacles simples et incroyables pour celui qui veut bien prendre le temps de les observer.

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INGENIEUSE NATURE

Au cours de l’histoire de la Terre, les milieux se sont modifiés, le berceau de la vie s’est modelé. De développement en extinctions, les espèces n’ont cessé de se diversifier interagissant entre elles et façonnant leurs niches écologiques.

Elles ont adopté d’étonnantes stratégies pour se nourrir, se reproduire ou se défendre. Une formidable adaptation n’ayant qu’un but : assurer leur propre survie.

En abordant, avec un regard inhabituel et émerveillé, le monde qui nous entoure, les auteurs Emmanuelle Grundmann et Marie-Odile Monchicourt présentent dans « Ingénieuse Nature : Quand la Vie fait preuve d’Invention » quelques-unes des dernières découvertes scientifiques qui viennent enrichir la fabuleuse histoire de la vie. Celle-là même dont nous sommes issus et à laquelle, par conséquent, nous sommes intimement liés.

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UN CHAMPIGNON DE LEGENDE

L’amanite tue-mouches (Amanita Muscaria), d’aspect très caractéristique, fait partie des champignons les plus connus, grâce à son chapeau rouge vif tacheté de blanc.

Son surnom, « tue-mouches », n’est pas usurpé et les anciens ne l’ont pas oublié : quelques-uns utilisent encore une préparation très efficace dont l’origine se perd dans la nuit des temps ! Le chapeau de quelques spécimens est haché menu et mis à macérer durant une nuit dans une bolée de lait sucré. Dès le lendemain, les mouches se ruent sur un mets irrésistible devenu poison mortel …

Commune sous les sapins et les bouleaux, cette amanite, pourtant vénéneuse à souhait, a toujours fait bonne figure dans les dessins animés et les contes de fées, comme les lutins, gnomes et trolls.

Dans la réalité, on voit souvent plusieurs amanites tue-mouches au même endroit, ce qui permet d’observer ce champignon caractéristique à différents stades de son développement. Il contient de faibles quantités de substances toxiques comme l’acide iboténique et le muscimol, provoquant nausées, vomissements, transpirations et symptômes d’ivresse, suivis d’hallucinations. En grande quantité, l’amanite tue-mouches peut être mortelle, à la suite des déshydratations provoquées par les vomissements et les diarrhées.  Historiquement, certains peuples de Sibérie, certains Chamans et plus loin encore, les Vikings consommaient ce champignon pour ses vertus hallucinogènes et sa capacité à accélérer le passage vers un mode de conscience altérée…

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AUTANT DE NIDS QUE D’OISEAUX

Tous les nids ont pour élément central et quelque fois unique, une cuvette, naturelle ou construite, plus ou moins profonde pour recevoir les oeufs.

Mais à partir de ce point commun, Dame Nature manifeste une fois de plus son étonnante diversité.

Les vanneaux huppés, les bécasses des bois, les courlis cendrés pondent leurs oeufs à même le sol. D’un parfait mimétisme, ils sont difficiles à repérer. Dans ce cas de figure, les oisillons sont généralement nidifuges en ce sens que naissant recouvert de duvet et ayant les membres déjà bien formés, ils sont capables de quitter très rapidement le nid.

Le martin pêcheur et l’hirondelle des rivages creusent dans les berges pentues de terre, des galeries dont ils aménagent l’extrémité en chambre de ponte. D’autres oiseaux, cavernicoles comme ces derniers, utilisent les cavités naturelles des arbres en les agrandissant au besoin : les chouettes chevêches, les mésanges noires et nonnettes, les sittelles torchepot, les gobes-mouches noirs etc.

Enfin, certains cavernicoles creusent entièrement leurs loges dans le tronc ou la branche d’un arbre, de préférence mort ou dépérissant. C’est le cas de toutes les espèces de pics. Leur bec acéré sert de ciseau et de levier mus par une musculature forte du cou. Dans cette catégorie d’oiseaux procréant dans des nids en loges, le squattage est fréquent. La sittelle torchepot prend volontiers possession d’un appartement abandonné par un pic, en réduisant à sa taille le trou de vol par une maçonnerie de salive et de terre.

Quant aux nids construits de « plein vent » qui sont le fait d’une grande partie des espèces communes de notre région, ils vont des plus rudimentaires aux plus élaborés. Entre l’amas de branchettes superposées et sommairement entremêlées des nids de corbeaux freux et la structure sophistiquée et quasiment tissée d’une mésange rémiz, voire la construction « en dur » et tout en arrondis, d’une hirondelle de fenêtre, il n’y a aucune comparaison. De même, les mésanges à longue queue, les pinsons des arbres, les chardonnerets, les troglodytes sont -ils les artisans de petites merveilles.

Tous les nids de ces espèces doivent être bien calorifugés, car les oisillons nus et aveugles à leur naissance y demeurent plus ou moins longtemps. On dit qu’ils sont nidicoles. Boules généralement sphériques ouvertes ou fermées, ces nids comprennent une ossature d’épaisseur variable et un rembourrage interne constitué de matériaux fins : herbes, duvets, crins, fils, mousses, plumes, etc. Les cigognes blanches utilisent même du fumier et des végétaux en fermentation pour obtenir une température plus propice à la couvaison et à la nichée.

La construction des nids représente un travail considérable. La collecte des matériaux a nécessité jusqu’à 1300 allers et venues à un pinson, 1200 à une hirondelle rustique. Dans nos agglomérations, cette quête se complique par la difficulté de trouver brindilles, feuilles, mousse, foin etc. dans nos jardins et espaces verts strictement ordonnés, taillés, tondus, ratissés et nettoyés.

L’effort déployé est généralement partagé par le couple. Chez certaines espèces, l’un des adultes apporte les matériaux, l’autre les assemble. Le mâle de troglodyte construit plusieurs ébauches qui sont présentées à son élue. Elle finit le travail de la structure jugée bien faite ou bien placée. Seul les coucous ont su trouver le moyen de se dispenser de ce labeur. Ils pondent leurs oeufs dans le nid d’autres oiseaux qui aux dépends de leur propre progéniture, sont conduits inconsciemment à couver et à élever un intrus qui les dépasse en taille et en appétit.

Tant de peine pour construire les nids ne sert dans la généralité des cas que pour une ou deux, exceptionnellement trois pontes annuelles, de mars à fin juillet. Ensuite les nids de plein vent sont définitivement abandonnés. A condition de respecter cette période cruciale, les jardiniers privés ou professionnels n’ont donc pas à craindre la destruction des nids en taillant arbres et arbustes ou en débroussaillant berges d’étangs et de cours d’eau, bas cotés de routes etc. Hélas, bien trop souvent, il n’est pas tenu compte de cette indispensable trêve de protection, alors qu’aucun impératif botanique ou autre, ne s’y oppose.

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CHAMPS DE MAÏS APRES LA RECOLTE

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LES CHEVAUX DORMENT-ILS DEBOUT ?

En réalité, les chevaux dorment debout et couché. Simplement, il ne s’agit pas dans les deux positions de la même sorte de sommeil. Debouts, les chevaux dorment d’un sommeil léger. Couchés, ils dorment d’un sommeil profond.

Les chevaux dorment debout quand ils se sentent plus ou moins en sécurité dans l’environnement dans lequel ils se trouvent. Il faut avoir à l’esprit que dans la nature, les chevaux ont toujours été des proies. Depuis la nuit des temps, la position allongée représente un danger pour eux puisque couchés dans les hautes herbes, les chevaux ne voient pas venir les prédateurs et mettent en conséquence plus de temps à se relever pour fuir.
D’ailleurs, en horde, il est intéressant d’observer qu’il y a toujours un ou plusieurs chevaux en « tour de garde » qui  veillent lorsque les autres dorment couchés.
Ils échangent ensuite les rôles…

Les chevaux peuvent se permettre de dormir debout parce qu’ils ont un jeu de ligaments qui bloque l’articulation du fémur, du tibia et de la rotule. Ce jeu de ligaments particulier leur permet de rester debout très longtemps sans fatigue. 

Les chevaux n’ont pas besoin de dormir autant et aussi profondément que les humains. En 24 heures, il leur faudra à peu près 3 heures de sommeil, au cours desquelles ils ne dormiront profondément que de 30 à 40 minutes. Pour le même laps de temps, les humains ont besoin de 7 à 8 heures de sommeil et de 1 heure et demi de sommeil profond. Quand le cheval se couche pour dormir, c’est plus souvent durant la nuit que durant le jour, et lorsqu’il se sent en totale sécurité. Il se couche alors sur le côté. Les jeunes chevaux dorment souvent sur le côté en début d’après-midi. Si le cheval entend un bruit alors qu’il est couché et dort, il se relèvera en une fraction de seconde.

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L’ORVET EST UN LEZARD SANS PATTES !

Inoffensif pour l’homme, l’orvet est un ami du jardinier puisqu’il dévore toutes sortes d’invertébrés. Souvent considéré par le grand public comme un serpent mais contrairement aux apparences, l’orvet fait bien partie de la famille des anguidés qui est en fait un sous-ordre des sauriens… autrement dit, l’orvet aussi appelé serpent de verre, est un lézard sans pattes !

Du lézard, il a hérité la faculté d’autotomie, c’est-à-dire qu’en cas d’attaque d’un prédateur, il peut perdre une partie de sa queue.

Contrairement au serpent, l’orvet présente les mêmes écailles sur toute la surface de son corps et peut cligner des yeux puisqu’il est pourvu de paupières mobiles. Le tympan est également caché sous les écailles comme chez le lézard. L’on trouve cet animal communément dans toute l’Europe jusqu’en Russie mais aussi dans certains pays plus ensoleillés comme l’Iran, l’Algérie, la Turquie.

L’orvet se caractérise par un corps longiligne pouvant atteindre 50 cm, sans pattes, recouvert d’écailles minuscules et lisses dont la couleur varie du gris au brun. Le ventre chez la femelle est marqué par des bandes longitudinales sombres qui la rend notablement plus belle que monsieur. Son espérance de vie atteint allègrement 30 ans !

L’orvet se cache le plus souvent à proximité d’un point humide, sous les feuilles dans un coin ombragé, ou encore dans les hautes herbes, sous des cartons, une tôle, bref tout ce qui permet de garder une certaine humidité favorisant la présence de petits invertébrés dont il est friand. Son menu préféré se compose essentiellement d’escargots, de limaces, de vers de terre et autres lombrics, de chenilles, cloportes, araignées, larves diverses.

Au jardin, il est donc assurément un véritable ami du jardinier ! Un tas de compost est pour lui un superbe refuge pour trouver de la nourriture à profusion et une certaine chaleur à la saison froide.

Pendant l’hiver, l’orvet hiberne soit dans une cachette soit dans un terrier qu’il creuse par ses propres moyens et qu’il ferme avec de la terre et de la mousse.

La reproduction de l’orvet intervient à partir de la fin août. Il est vivipare et donne naissance à des petits formés.

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