Alors que je suis d’en train d’écrire ce post, nos gentils minous « Django » et « Minette » sont étendus, l’un sur mon bureau et l’autre sur un fauteuil. Point commun entre les deux ? Un doux ronronnement apaisant…
Le ronronnement du chat est une vocalisation le plus souvent associée au contact, tant avec un congénère amical qu’avec un être humain ou même un objet, par exemple lorsqu’un chat malaxe un coussin avec ses pattes. Le ronronnement se manifeste lorsque l’animal éprouve du plaisir, mais aussi de la souffrance : les vétérinaires observent fréquemment les chats ronronner continuellement lorsqu’ils sont stressés, blessés et même mourants.
Le chat ronronne le plus souvent pour exprimer la dépendance : le chaton dépend de sa mère et de son lait, de l’homme lorsqu’il réclame des soins ou des caresses. Le ronronnement a un rôle important dans les relations sociales des félins puisqu’il communique l’état du chat à son entourage humain ou félin : ainsi le chaton qui ronronne informe sa mère qu’il va bien ou les chats adultes expriment leur contentement sous la caresse. Cette vocalisation pourrait également désamorcer les conflits puisqu’un chat ronronne parfois lorsqu’il rencontre un chat dominant
Une théorie assure au ronronnement un rôle curatif pour l’animal : les vétérinaires considèrent que les chats guérissent rapidement des fractures, ont moins de complications postopératoires et ont une prévalence aux maladies osseuses, musculaires et ligamentaires plus faible que les chiens. Une hypothèse avance que le ronronnement, dont la fréquence se situe entre 25 et 30 Hz, peut avoir un pouvoir réparateur et même antalgique par rapport aux os, aux tendons et aux muscles. De nombreux félins émettent des vibrations dont la fréquence permet de calmer les douleurs aiguës, les problèmes tendineux, musculaires ou articulaires. Le ronronnement serait alors un moyen de garder la santé pour le chat en assurant une maintenance corporelle.
En regardant et en écoutant Django et Minette dormirent dans un paisible « ronron », je suis convaincu que le ronronnement a une action très bénéfique sur nous humains, notamment grâce à un effet relaxant. Le site EfferveSciences argumente que le ronronnement est analogue à la madeleine de Proust et permet de se remémorer des souvenirs agréables, et par voie de conséquence d’évacuer le stress. Certains hôpitaux testent depuis fort longtemps l’effet apaisant des chats, notamment sur les personnes âgées et, au Japon, les bars à chat permettent à quiconque de garder l’animal auprès de soi pour se reposer…
Avec ses 250 espèces, le camélia est la fleur idéale pour fleurir votre coin de nature toute l’année. En alternant dans vos plantations les camélias d’hiver et les camélias d’automne appelés aussi « Sasanqua », votre espace restera fleuri et parfumé en permanence.
Surnommé « rose » pour sa beauté, le camélia appartient à la famille des Théacées, comme le thé. La confusion entre ces deux plantes serait d’ailleurs à l’origine de l’introduction du camélia par les Anglais, au grand dam des buveurs de thé, mais pour le plus grand bonheur des passionnés de fleurs, comme Joséphine de Beauharnais qui en lança la mode en France.
Du blanc pur au pourpre intense, en passant par des déclinaisons de vert, de rose ou de violet, cette plante de terre de bruyère propose presque autant de teintes que de variétés. Le cœur de la fleur abrite une myriade d’étamines dorées, symbole de générosité pour les samouraïs qui la prirent comme emblème.
La variété « Camellia Japonica« , fruit d’une longue sélection effectuée en Extrême-Orient, est l’espèce la plus classique en France. « Bow Bells » permet d’avoir une floraison particulièrement longue, le « Donation » croule sous une masse de fleurs, le « Gloire de Nantes » procure un parfum enivrant, tandis que le « Freedom Bell » ou l’ « Inspiration » offre des des fleurs de grande taille…
Les camélias apparaissent en jardinerie dès le mois de janvier. Choisissez-les plutôt en fleur qu’en boutons pour être certain de leurs nuances et sachez par ailleurs que le camélia se plante même au milieu de sa floraison.
Renseignez-vous sur les différentes variétés afin d’adapter votre choix en fonction de votre climat. Certaines espèces, comme les Williamsi ou les Japonica résistent jusqu’à -15°C.
Cerise sur le gâteau, l’huile de camélia nourrit, protège et adoucit la peau…
Pas plus grand qu’un gros chien, Meshak, notre adorable âne miniature arrivé tout droit du Texas, adore se promener aux abords de la Propriété avec son inséparable copain Henkidou, un cheval Falabella, lui-aussi miniature.
Si vous voulez en savoir un peu plus sur les ânes du Relais du Vert Bois, relisez notre post du 29 Juillet dernier.
Voici un livre étonnant et iconoclaste.
L’Animal en Nous commence comme un petit conte philosophique, à travers lequel Michel Odoul s’interroge sur le « sens » de l’être humain (dans nos sociétés de surconsommation, l’individu n’est-il plus « que ce qu’il consomme »?), et se termine par un clin d’oeil provocateur. Pour l’auteur, seul un retour aux sources, à nos origines ancestrales et animales, peut nous ramener au « sens » de l’humain. Si nous ne savons plus vraiment comprendre l’humain dans son essence en observant nos contemporains, peut-être pourrons-nous le faire un peu mieux en observant les animaux.
Car nous portons tous, en nous, des traces de leur présence. Michel Odoul nous conduit au fil des pages à la découverte des liens qui peuvent être faits avec notre « parenté animale » et nous ramener ainsi à notre essence.
Une galerie de 12 portraits de personnalités politiques vient illustrer de façon humoristique le propos. En observant le comportement des animaux dans la nature, on peut retrouver de façon troublante celui des animaux politiques qui nous dirigent.
Bluffant !
Dans les régions tempérées, comme c’est le cas en France, l’hiver est une période difficile pour tous les animaux.
Les oiseaux migrateurs, comme les hirondelles, assurent leur survie en allant passer cette saison dans une région du globe plus favorable. Pourtant de très nombreux animaux restent sur place et doivent alors mettre en jeu des mécanismes leur permettant de résister aux conditions défavorables.
Certains entrent dans un état de vie ralentie : c’est l’hibernation pour la marmotte, le hérisson, le hamster, le loir ou la chauve-souris et l’hivernage pour les amphibiens et les reptiles.
L’ours, le blaireau et le putois n’hibernent pas tout à fait, la différence venant du fait que leur température chute peu (de 5 à 7 degrés) et que malgré leur position en boule et leur somnolence, ils sont capables pendant cette période de réagir et de se déplacer, même hors de leur tanière lorsque le temps le permet. La femelle ours peut même mettre bas pendant cette période, et alimenter ses petits dans la foulée.
Ceux qui restent actifs doivent faire face au froid et au manque de nourriture. Chez les mammifères comme le renard, l’âne ou bien encore le cheval, le pelage s’épaissit. Le comportement alimentaire peut également se modifier : les mésanges, insectivores en été, se mettent à consommer des graines et des fruits, l’aigle devient quant à lui plus charognard.
L’écureuil et le casse-noix « prévoient le coup » en faisant des réserves de graisse en automne avant d’aller piocher dedans en hiver. Pour ceux qui ne font pas pas de réserve, il faut se débrouiller coute que coute : les branches et écorces satisfont les herbivores comme les cerfs, les chevreuils, les rongeurs régalent les renards et les rapaces, les moineaux, pivert et autres oiseaux se nourrissent de graines sèches et d’insectes.
Le renard polaire supporte les grands froids grâce à son épaisse fourrure qui le protège jusqu’à -70°C, température à laquelle il commence seulement à ressentir les effets du froid ! Quant au tétras-lyre, il creuse généralement un igloo pour se protéger du froid.
Et l’homme dans tout cela ? Avec une température corporelle de 37.2°C, il tombe en état d’hypothermie à partir de 35°C et devient inconscient à 33°C…
Google investit à nouveau dans le photovoltaïque. Le géant de Silicon Valley a débloqué 75 millions de dollars soit près de 54,6 millions d’euros dans un fonds destiné à favoriser l’essor du photovoltaïque.
En avril dernier Google investissait 3,5 millions de dollars (2,5 millions d’euros) dans un parc de panneaux photovoltaïques à Brandebourg-sur-la-Havel. Située près de Berlin, la centrale de panneaux photovoltaïques est une des plus importantes d’Allemagne avec sa capacité de 18,65MW sur 47 hectares. En juin c’était 203 millions d’euros que le moteur de recherche avait débloqué en partenariat avec le groupe SolarCity pour un fonds spécial.
Poursuivant ainsi ses financements dans les énergies renouvelables le géant de Silicon Valley a confirmé le mois dernier la création d’un fonds de 54,6 millions d’euros. Google en partenariat avec Clean Power Finance souhaite aider près de 3.000 ménages américains à s’équiper d’une installation solaire. Google restera propriétaire des équipements financés avec le fonds d’investissements. Les ménages qui bénéficieront de ce projet devront racheter l’électricité produite à un prix abordable et fixé en avance. Clean Power Finance est une start-up, fournisseur de logiciels intégrés, des services et financement pour l’industrie solaire. La start-up se chargera de faire le lien avec les installateurs tiers.
L’engagement du moteur de recherche dans les énergies vertes ne cesse d’augmenter. Les États-Unis ne sont pas très en avance pour ce qui est d’installations photovoltaïques chez les particuliers. Une bonne chose que Google montre l’exemple à d’autres entreprises qui pourraient suivre le pas.
Jardinier, écrivain, poète et paysan, Pierre Rabhi est l’un des pionniers de l’agroécologie.
Depuis plus de quarante ans, il développe ce principe d’agriculture qui vise à respecter les écosystèmes. Les éditions textuels viennent de publier « Pierre Rabhi, le Fertile » à partir de ses meilleurs entretiens radiophoniques diffusés sur France Inter et France Culture.
Le livre est accompagné d’un CD, et les deux réunis vous permettront de découvrir ou de redécouvrir un personnage aussi étonnant que discret, aux idées ô combien fertiles.
Face à la pléthore de théorie et de concepts sur le terrain de l’écologie et de l’agriculture, Pierre Rabhi a toujours opposé une action concrète et efficace.
La chanteuse Nicoletta, l’actrice Corinne Touzet et une dizaine d’autres artistes proposeront à l’adoption les 19 et 20 novembre 600 chiens et chats à l’occasion du Noël des animaux, organisé porte de Versailles à Paris par la Fondation Assistance aux Animaux. La 51e édition de ce « Noël animalier » veut donner grâce aux artistes présents une seconde chance aux laissés pour compte.
« Il faut respecter les animaux qui sont un lien important entre nous et la nature mais aussi un lien social », a déclaré Nicoletta qui possède deux chats et un chien. « Il y aura toutes sortes de chiens, dont de nombreuses races de petites tailles et de tous les âges et beaucoup de chatons proposés à l’adoption et tous sont en bonne santé », a précisé de son côté Stéphane Lamart, porte-parole de la Fondation. « Un vétérinaire répondra aux questions des futurs maîtres », a-t-il ajouté.
Matière première très abondante et né de la concrétion de la craie qui recouvre les plateaux normands, le silex a été, jusqu’au début du XXe siècle, très utilisé en Normandie pour la construction aussi bien de modestes bâtiments ruraux que de maisons à colombages, d’églises et de châteaux. Le Relais du Vert Bois, dont la réalisation initiale date de 1853, ne fait pas exception à la règle !
Le silex assure à chaque construction des fondations et un barrage contre l’humidité particulièrement efficaces. Souvent associé à d’autres matériaux, le silex permet aussi d’affiner le caractère décoratif de chaque édifice du fait de sa brillance et du contraste de couleur blond, gris-bleu ou noir.
Au hasard de vos balades dans la campagne normande, vous remarquerez forcément toutes les maçonneries « composite » qui caractérisent la région.
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