Aujourd’hui, un SDF est encore trop souvent obligé de laisser son chien pour bénéficier d’une nuit dans un vrai lit, d’un repas ou bien encore d’une douche…
Trop peu d’hébergements d’urgence acceptent les animaux : le sans-abri préfère rester dehors plutôt que d’être contraint d’abandonner son compagnon d’infortune, dernier lien social avec le monde environnant.
Amies pour la vie, amies pour toujours…
D’où vient la nouriture que nous consommons ? Comment se sont élaborées les énergies fossiles que nous brûlons ? Quelle est l’origine de la plupart des médicaments qui nous sauvent la vie ? Comment étaient protégées les côtes maritimes avant la déforestation ? Quels sont les éléments qui protégeaient nos terres agricoles de l’érosion ?
La réponse à toutes ces questions est la même : la biodiversité !
L’Homme a progressivement perdu le contact avec le fondement même de son existence et de son évolution. Nous sommes « l’espèce dominante » de la planète mais cette dominance est utilisée à mauvais escient. Au lieu de perturber, à la limite de la rupture, les équilibres naturels, il serait plus pertinent de les accompagner. La transformation trop rapide de ces équilibres nous précipite vers une nouvelle vague d’extinction massives des espèces animales et végétales.
1 espèce sur 3 d’amphibiens, 1 espèce sur 4 de mammifères et 1 espèce sur 8 d’oiseaux sont menacées dans le monde. En France métropolitaine, c’est même 1 espèce d’oiseaux sur 4 qui se trouve menacée !
Protéger la biodiversité n’est pas qu’une affaire de partis politiques et d’associations écologistes. Parler de biodiversité n’est pas réservé aux spécialistes qu’ils s’appellent Yann Arthus-Bertrand, Allain Bougrain-Dubourg ou Nicolas Hulot.
La biodiversité, c’est l’affaire de tous, de vous, de moi comme ici au Relais du Vert Bois. Faisons de nos jardins des îlots de biodiversité, donnons nous un tout petit peu de mal aujourd’hui pour préserver demain. Renoncez par exemple aux haies de thuyas défavorables à la faune et à la flore pour privilégier les haies champêtres constituées d’essences locales. Evitez de couper le lierre en automne car ses fleurs nourrissent les abeilles qui plus tard fourniront aussi des baies aux oiseaux !
Agir pour la biodiversité ne coûte souvent pas grand chose. Rappelez-vous que notre destin est lié aux « petites fleurs et aux petits oiseaux »…
Au cours des 30 dernières années, le cancer, les maladies neurologiques (Parkinson et Alzheimer) ou auto-immunes, et les dysfonctionnements de la reproduction n’ont cessé de progresser.
Comment expliquer cette inquiétante épidémie, qui frappe particulièrement les pays dits « développés » ?
C’est à cette question que répond le film « Notre poison quotidien », fruit d’une enquête de deux ans en Amérique du Nord, en Asie et en Europe : il y est démontré de manière implacable comment l’industrie chimique empoisonne silencieusement nos assiettes.
A regarder attentivement… et à montrer !
Le ronron de votre chat a tendance à vous apaiser ? Votre enfant est plus sociable maintenant qu’il a un animal de compagnie ?
C’est indéniable, la présence d’un animal est bonne pour le moral et pour la santé ! Si de tout temps l’animal a accompagné l’homme dans ses activités, il est aujourd’hui, plus que jamais, son complice, son confident et son partenaire. Vie stressante, isolement, maladie… les animaux de compagnie aident à construire ou retrouver une vie équilibrée et à surmonter les difficultés.
A l’aide d’histoires touchantes issues de la vie quotidienne mais aussi de nombreux témoignages, le livre « Un animal et la vie est plus belle » explique pourquoi l’animal est facteur d’équilibre et de qualité de vie.
Cet ouvrage passionnera ceux d’entre nous qui ont un animal de compagnie et trouveront là un prolongement à leur propre réflexion, tout comme ceux qui n’en ont pas, mais désireux d’en savoir plus sur les bienfaits de cette relation extraordinaire.
Le saumon nage de nouveau dans la Seine après un siècle d’absence en raison de la pollution.
Le vidéocomptage réalisé dans la passe à poissons du barrage de Poses, à moins de 10 minutes du Relais du Vert Bois, prouve que le saumon peut recoloniser naturellement un fleuve.
Dans le même temps, on a également recensé 32 espèces de poissons dans la Seine contre seulement 3 en 1970. Parmi les poissons les plus courants, on retrouve la tanche, l’anguille, la perche, le brochet et le gardon. On a même pêché ces dernières années des truites sauvages, signes de l’amélioration sensible de la qualité de l’eau. Ces poissons, particulièrement exigeants sur la qualité de l’eau, sont considérés comme des « bio-indicateurs » par les scientifiques.
Notre grande volière extérieure compte parmi ses occupants deux couples de magnifiques perruches à collier. Ces dernières habitent naturellement les savanes arborées et les zones cultivés tropicales d’Afrique et d’Asie. La perruche à collier possède la plupart du temps un plumage d’un verte éclatant (il peut exister d’autres mutations de couleurs comme le bleu azur) et un cri distinctif.
En captivité, la nourriture préférée de la perruche à collier est constituée par des végétaux variés (amandes, arachides, baies, céréales, fleurs comestibles, fruits, germes de graines et/ou de légumineuses, légumes, légumineuses très cuites, noix, pâtes alimentaires al dente, quinoa, riz, verdure…).
Si les scientifiques savent que les abeilles et les fourmis se repèrent grâce à la lumière polarisée du soleil, que les chauve-souris, les oiseaux migrateurs et les cétacés s’orientent grâce au champ magnétique terrestre, ils n’ont pas beaucoup de certitudes sur ce qui guide les chiens…
La mémoire et la reconnaissance visuelle, olfactive et sonore jouent un rôle lorsqu’il s’agit de lieux déjà connus ou proches du domicile de l’animal. En revanche, quand les chiens partent en exploration en zone inconnue, certains spécialistes pensent qu’ils utilisent une forme de GPS biologique calculant les distances parcourues entre deux changements de direction.
Pour revenir à leur point de départ, ils n’auraient qu’à inverser ces directions mémorisées…
Le moineau domestique, naguère familier des villes et des campagnes, tend à disparaître en Europe. Un phénomène qui en dit long sur la dégradation des milieux naturels.
En Grande-Bretagne, ce petit passereau est même désormais inscrit sur la liste des espèces menacées !
Les causes de ce déclin sont multiples mais on invoque surtout la pénurie alimentaire due aux pesticides et aux engrais chimiques qui éliminent les insectes dont se nourrissent principalement les moineaux.
De nombreux poussins de moineaux meurent ainsi de faim en juin et en juillet avant de quitter le nid.
Autre cause possible : la disparition des sites de nidification dans les villes où les bâtiments vétustes qui offraient des cavités servant de nids ont disparu au profit de bâtiments neufs bien entretenus…
Si comme au Relais du Vert Bois, vous souhaitez participer à la protection des moineaux, rappelez-vous que ceux-ci aiment vivre en groupe : ils doivent donc trouver des lieux où se réunir, dormir (arbres, arbustes) et se nourrir (plantes sauvages). Il est ainsi possible de planter des haies de bouleaux, sureaux, chèvrefeuilles, troènes, houx et rosiers. Pour aider cette espèce granivore à trouver, surtout en hiver, des graines qui assurent son alimentation, on peut planter des céréales sauvages (graminées) ou cultivées, ou des plantes comme le mouron, le séneçon et le plantain…
Le moineau aime également les fruits de l’aubépine, du sureau et de l’ampélopsis : cette dernière espèce, comme le lierre, lui offre le gîte et le couvert. La conservation de parcelles en friches permet au Moineau domestique de se nourrir et d’accueillir de nombreuses autres espèces de passereaux…
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