Pas d’école buissonnière à Auxon-Dessus, village de 1200 habitants à quelques kilomètres de Besançon. Les petits élèves du primaire ne manqueraient pour rien au monde le ramassage scolaire.
Chaque matin ils ont rendez-vous avec Ravissante et Pimprenelle, deux sympathiques juments comtoises.
Outre le service – gratuit – rendu aux parents, le maire tenait à faire « revenir le cheval au centre du village » dans un souci de valorisation du cheval comtois.
Outre le transport ludique et écologique, les deux comtoises s’occupent également du ramassage des ordures (comme à Besançon le long du Doubs depuis le printemps dernier), du nettoyage de la voirie et des parcs ainsi que du ramassage des feuilles…
Un bel exemple à suivre !
Un résident du Relais du Vert Bois me relatait hier soir qu’il avait entendu le cri de plusieurs chouettes à proximité immédiate de la maison…
A cela s’est ajoutée la question : « Quelles sont les différences entre une chouette et un hibou? ».
Et bien la différence la plus frappante entre ces deux oiseaux nocturnes est avant tout visuelle avec la présence sur la tête du hibou, de deux petites touffes de plumes. Attention, ce ne sont pas des oreilles mais des aigrettes !
Leur rôle exact est encore inconnu jusqu’ici mais on pense sérieusement que leur position change en fonction de l’humeur du hibou.
Au niveau du plumage, les coloris bruns des hiboux contrastent avec ceux, souvent plus variés, de la chouette. (Lire la suite…)
La télévision avec Daktari et Flipper le Dauphin qui émerveillaient tous les enfants décidés à devenir vétérinaires, le dimanche comme véritable jour de repos, le facteur qui s’arrête pour prendre un verre, la sieste l’après-midi et pas seulement à Marseille, les concierges, la correspondance écrite sur papier, les fruits et légumes…mais de saison, les garde-barrières de la SNCF, le médecin de famille, etc, etc.
Tant de choses qui mettaient du liant dans la vie et qui ont pratiquement disparu sur l’autel du « modernisme » en raison de la rationalisation, de la banalisation et de l’obsession de la rentabilité : 250 coups de gueule de l’essayiste Jérôme Duhamel écrits avec beaucoup d’humour dans son livre « C’était Mieux Avant« .
S’agissant de votre prochain séjour au Relais du Vert Bois, rassurez-vous d’avance car ici on prend son temps, la sieste sur la vaste terrasse en bois étant forcément…un moment sacré !
Rigel (dont le nom vient d’une étoile de la constellation d’Orion), notre magnifique étalon Pure Race Espagnole sous le soleil de l’été normand.
Né dans un haras proche de Grenade, Rigel est un fidèle compagnon dont la gentillesse et l’extrême sociabilité sont reconnues par tous. Rigel profite de la quiétude des lieux en compagnie de son copain Wiwi (cheval hollandais KWPN), des ânes et des lamas.
Saviez-vous que le sanglier est un mode de transport très prisé ? Le trèfle, le benoîte, la ronce…
Au total une quarantaine de graines se bousculent pour prendre place à bord de son pelage solide, et se disséminer au fil de ses trajets.
C’est ainsi que la cynoglosse, petite plante verte que l’on croyait disparue, est réapparue en France… Vive les transports collectifs !
Symbole de la Normandie, ce fruit défendu est le plus ancien fruit connu de l’humanité et le fruit le plus consommé en France. Autrement dit…la pomme !
Les vergers de Normandie procurent les célèbres boissons régionales que sont le jus de pomme, le cidre, le pommeau et le Calvados (à consommer avec modération).
Variétés à cidre ou à couteau (se dit des pommes de table destinées à être consommées crues), les pommiers se parent de fleurs roses ou blanches en mai pour une récolte en septembre.
Ne manquez pas les nombreuses recettes sucrées ou salées à base de pommes proposées par les restaurateurs recommandés au travers du site internet du Relais du Vert Bois.
Le coquelicot est une plante populaire, annuelle et d’apparence fragile facilement reconnaissable par sa couleur rouge vif éclatante. Pourtant, cette fleur est bien moins répandue qu’autrefois dans les prairies. Souvent, on ne la trouve plus qu’en périphérie des champs cultivés car elle ne résiste pas aux différents produits utilisés dans l’agriculture intensive.
Curieusement le coquelicot n’attire que très peu les abeilles dans les prairies car ces insectes pollinisateurs ne distinguent pas le rouge de ces pétales ! En revanche, le coquelicot est vital à la vie d’une abeille solitaire, l’osmie des coquelicots (Osmia papaveris) qui ne fabrique ses nids qu’avec des morceaux de ses pétales…
Comme tous les pavots, le coquelicot a des effets narcotiques dus aux alcaloïdes qu’il contient. En phytothérapie, on utilise ses pétales séchés, dont on fait le plus souvent des tisanes. Ses effets apaisants se font sentir sur l’adulte, mais surtout sur les jeunes enfants (on mélangeait autrefois du coquelicot à la bouillie des enfants pour faciliter leur sommeil). Par ses propriétés émollientes, sédatives et béchiques, le coquelicot est un calmant de la toux et des irritations de la gorge. Il est alors utilisé sous forme de pastilles à sucer. Il existe un sirop de coquelicot.
Même si elles sont moins grosses que celles de certains autres pavots, les graines du coquelicot sont utilisées comme elles en pâtisserie ou pour confectionner des pains aromatisés.
Si l’on ne peut pas se passer de les cueillir pour en faire un bouquet, on empêche les fleurs de se faner dans la journée en prolongeant leur épanouissement par la cautérisation de la tige à l’endroit où elle a été coupée.
Le coquelicot continue à être un sujet favori des peintres de fleurs, après avoir notamment inspiré les peintres impressionnistes, comme Claude Monet à qui l’on doit plusieurs tableaux de champs de coquelicots exposés au Musée Claude Monet de Giverny, à proximité du Relais du Vert Bois.
180 km/h : le faucon pèlerin est l’oiseau le plus rapide en vol au monde.
Ses longues ailes en forme de pointe permettent cette vitesse exceptionnelle, tandis que cet oiseau de proie possède des narines dotées de déflecteurs : il respire parfaitement dans les descentes en piqué.
Cet oiseau puissant est un chasseur redoutable et ses attaques en piqué sont particulièrement spectaculaires.
La Normandie compte aujourd’hui moins de 40 couples nicheurs de faucons pèlerins, répartis principalement sur les falaises du littoral du pays de Caux et en vallée de Seine.
A moins de 30 minutes du Relais du Vert Bois, prenez le temps d’aller observer ce magnifique et singulier rapace dont la réhabilitation est facilitée avec des moyens importants par la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) de Haute Normandie.
Vendredi de bon matin…Charlotte sur son magnifique cheval hollandais Wiwi. Tim et Cachou sont eux aussi fin prêts pour une balade en forêt de Bord.
Le Relais du Vert Bois est enclavé dans ce vaste domaine forestier d’environ 4600 hectares près du confluent de l’Eure et de la Seine.
Constituée principalement de chênes, de hêtres et de pins sylvestres, la forêt de Bord vous permettra peut-être de croiser cerfs, biches, sangliers chevreuils, écureuils et plus de 100 espèces d’oiseaux répertoriées par l’Office National des Forêts.
Près de 100 kilomètres de sentiers équestres vallonnés, entrecoupés de futaies et de belles allées qui raviront de par leur variété cavaliers et cavalières !
De prédateur il est devenu proie puis victime…Inscrit sur la liste des espèces menacées d’extinction menacée depuis 1973, le couguar (que l’on appelle aussi puma) a officiellement disparu du grand Est américain.
La panthère de Floride, une sous-espèce du puma américain, reste quant à elle sur la liste des animaux menacés d’extinction. Elle serait aujourd’hui présente sur moins de 5% du territoire, dans le sud-ouest de l’Etat, et les services américains estiment entre cent vingt et cent soixante le nombre de spécimens encore en vie. Pour elle aussi, hélas, la fin semble proche… Et cette extinction ne pourrait n’être qu’un début : selon la revue Nature, trois-quarts des mammifères pourraient disparaître d’ici à 300 ans…
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