180 km/h : le faucon pèlerin est l’oiseau le plus rapide en vol au monde.
Ses longues ailes en forme de pointe permettent cette vitesse exceptionnelle, tandis que cet oiseau de proie possède des narines dotées de déflecteurs : il respire parfaitement dans les descentes en piqué.
Cet oiseau puissant est un chasseur redoutable et ses attaques en piqué sont particulièrement spectaculaires.
La Normandie compte aujourd’hui moins de 40 couples nicheurs de faucons pèlerins, répartis principalement sur les falaises du littoral du pays de Caux et en vallée de Seine.
A moins de 30 minutes du Relais du Vert Bois, prenez le temps d’aller observer ce magnifique et singulier rapace dont la réhabilitation est facilitée avec des moyens importants par la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) de Haute Normandie.
Vendredi de bon matin…Charlotte sur son magnifique cheval hollandais Wiwi. Tim et Cachou sont eux aussi fin prêts pour une balade en forêt de Bord.
Le Relais du Vert Bois est enclavé dans ce vaste domaine forestier d’environ 4600 hectares près du confluent de l’Eure et de la Seine.
Constituée principalement de chênes, de hêtres et de pins sylvestres, la forêt de Bord vous permettra peut-être de croiser cerfs, biches, sangliers chevreuils, écureuils et plus de 100 espèces d’oiseaux répertoriées par l’Office National des Forêts.
Près de 100 kilomètres de sentiers équestres vallonnés, entrecoupés de futaies et de belles allées qui raviront de par leur variété cavaliers et cavalières !
De prédateur il est devenu proie puis victime…Inscrit sur la liste des espèces menacées d’extinction menacée depuis 1973, le couguar (que l’on appelle aussi puma) a officiellement disparu du grand Est américain.
La panthère de Floride, une sous-espèce du puma américain, reste quant à elle sur la liste des animaux menacés d’extinction. Elle serait aujourd’hui présente sur moins de 5% du territoire, dans le sud-ouest de l’Etat, et les services américains estiment entre cent vingt et cent soixante le nombre de spécimens encore en vie. Pour elle aussi, hélas, la fin semble proche… Et cette extinction ne pourrait n’être qu’un début : selon la revue Nature, trois-quarts des mammifères pourraient disparaître d’ici à 300 ans…
Moelleux, odorants et savoureux : trois mots pour rapidement décrire les abricots que nous avons récolté aujourd’hui dans le verger du Relais du Vert Bois.
Productif en fruits et très florifère, ce petit arbre présente beaucoup d’avantages, tant au printemps avec ses magnifiques fleurs blanc rosé qu’en été avec ses abricots jaune orangés.
Au Nord de la Loire, la variété « Luizet » est particulièrement recommandée. D’entretien relativement aisé, l’abricotier aime les endroits plutôt bien exposés et abrités du vent mais reste l’un des fruitiers facile à cultiver.
La Sieste ensemble ? C’est…s.a.c.r.é !
Il est 14h30, il fait chaud mais pas assez pour rester sous les cabanes d’herbage…
Toto & Topaze, amis pour toujours, amis pour la vie !
Grâce à elle, on sait à quel point l’animal est proche de l’Homme .
Je viens de relire l’excellent ouvrage de Jane Goodall « Nous sommes ce que nous mangeons » (Editions Actes Sud) où la primatologue dénonce les aberrations de l’industrie agroalimentaire et lance un plaidoyer pour une alimentation responsable et plus raisonnée.
Jane accuse la surexploitation des ressources, l’élevage intensif, le ravage des océans, le transport excessif des aliments, et les manières de les produire et de les préparer en ayant comme conséquence immédiate un appauvrissement de leurs qualités premières…
Il existe pourtant des solutions immédiates de bon sens présentées simplement dans ce livre intelligent et plein de sensibilité à mettre entre toutes les mains !
Dans le parc autour du Relais du Vert Bois, c’est un peu le paradis des paons !
Animal majestueux aux robes et couleurs souvent spectaculaires, le paon est un animal passionnant pour peu que l’on prenne le temps de l’observer avec attention (comme la plupart des animaux d’ailleurs…).
C’est un animal qui sait être particulièrement proche de l’Homme; curieux de nature, les paons analysent les changements environnementaux avec soin.
Lorsque je passe en tracteur dans les pâtures, il n’est pas rare que deux ou trois paons me suivent de près; une bien belle escorte me direz-vous !
À l’état sauvage, le paon vit en Inde, au Bangladesh, au Népal et au Sri Lanka (dont il l’est l’emblême du pays) dans les forêts et les bois. En Europe, il est surtout répandu dans les parcs zoologiques, et les grands jardins, souvent en liberté comme c’est le cas chez nous.
Cousin éloigné de la pintade et du dindon et parent plus proche du faisan, le paon mâle a un cri très reconnaissable souvent à près d’un kilomètre et que l’on associe souvent, chez les francophones, au prénom Léon. La femelle reste elle très silencieuse… Selon un rituel quasi immuable, au lever du jour, le paon s’envole de l’arbre où il a passé la nuit avec ses congénères pour gagner la terre ferme et chercher, seul, sa nourriture. Nos paons mangent des graines et céréales, fruits et baies, fleurs et insectes, et…les petites gourmandises qu’ils adorent venir nous chaparder !
Question habituelle des visiteurs du Relais du Vert Bois : quand et pourquoi le paon fait la roue ? Réponse simple : pour séduire les femelles. Les plumes très longues du dos forment une traîne qu’il déploie en éventail lors de la parade nuptiale. Mais cela lui sert également pour impressionner ses ennemis grâce à l’extrémité de ses plumes ornée d’un dessin en forme d’œil.
Quant aux reflets métalliques bleus et verts, il s’agit d’un effet d’optique dû à la réfraction de la lumière dans les nombreuses couches de kératine des plumes.
Cueillez les épis de lavande dont la majorité des fleurs sont épanouies, de préférence la matin et par temps sec. Vous pourrez ensuite les utilisez de diverses façons :
Côté Maison
La lavande chasse les insectes, les douleurs et le stress. Un petit sachet placé sous l’oreiller, et c’en est fini des migraines et insomnies; suspendu dans l’armoire, adieu les mites !
Et une piqûre d’insecte frottée immédiatement avec des feuilles de lavande froissées sera nettement moins douloureuse (L’huile essentielle de lavande est antiseptique et bactéricide).
Se plonger dans un bain d’eau tiède, parfumé de fleurs de lavande soulage les problèmes circulatoires.
Un bouquet de lavande dans le salon lui apportera par son parfum, une ambiance apaisante.
En Cuisine
Son parfum épicé ajoute une saveur surprenante aux pâtisseries, aux vinaigres de base et même aux confitures. A utiliser par petite doses, quitte à en rajouter : une seule fleur suffit à parfumer tout un plat !
Au Relais du Vert Bois, nous avons planté au printemps, 50 pieds de lavande tous disposés autour du verger. En associant judicieusement les fleurs (comme la lavande), les plantes (comme le thym) et nos fruitiers, on éloigne les parasites et on attire les insectes bénéfiques ! Abeilles et papillons, pour ne citer qu’eux, assurent la pollinisation de nos arbres fruitiers. Un jardin bourdonnant d’abeilles, c’est la promesse de belles récoltes au verger !
Et puis, accueillir une grande diversité d’insectes, c’est un premier pas vers la lutte biologique : les populations se régulent plus facilement d’elles-mêmes (ainsi, le syrphe se charge de la pollinisation tout en dévorant les pucerons). A noter que, contrairement à une idée reçue, les abeilles occupées à butiner ne piquent pas : pas d’inquiétude à avoir pour les enfants.
Du point de vue de l’écologie et de l’environnement, les insectes, en particulier les abeilles, ont bien besoin qu’on leur offre des fleurs à butiner, et donc de la nourriture. Entre les pesticides, la disparition de la flore sauvage, la suppression des haies et les jardins trop bien entretenus, où les plantes indigènes ne trouvent plus refuge, les insectes ont bien du mal à trouver un lieu de vie… et de quoi se nourrir. C’est la biodiversité de nos campagnes qui est en jeu, ainsi que la survie des abeilles, à qui la nourriture manque parfois cruellement.
Originaire de Bretagne, le mouton d’Ouessant porte le nom de l’île qui l’a vu naître.
Il s’est adapté aux conditions rudes d’un climat venteux et d’une terre pauvre en végétation et il a progressivement diminué de taille. Plus anciennement, il peuplait les landes des cinq départements de Bretagne. On le tenait surtout pour sa laine, noire originellement, qui ne devait donc pas être teinte pour la confection de vêtements.
Ce petit mouton, l’un des plus petits au monde, a bien failli disparaître face aux grandes races plus rentables. Sa survie est due à une poignée d’éleveurs passionnés, qui dans les années 1970 ont recherché les quelques moutons d’Ouessant qui subsistaient chez les particuliers afin de reformer des troupeaux.
Le mouton d’Ouessant est de couleur noire, brune ou blanche « froment », dans les critères de race aujourd’hui acceptés. La femelle donne naissance à un seul jeune; les naissances gémellaires sont rares. C’est un petit mouton jouissant d’une excellente santé, de par sa rusticité. Il est surtout utilisé comme animal d’agrément et comme « tondeuse écologique ». Nos brebis Isis (de couleur blanche) et Ulynes (de couleur noire), aussi coquines que facétieuses, sont deux amours de brebis.
Forte de 45 000 membres, la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) est aujourd’hui l’une des premières associations de protection de la nature en France. Elle agit au quotidien pour la sauvegarde de la biodiversité, à partir de sa vocation de protection des oiseaux.
Le réseau des Refuges LPO est le premier réseau de jardins écologiques en France. Ce programme existe depuis la création de la LPO : en 1912.
Le nombre de Refuges n’a cessé de croître depuis cette date : de 250 refuges en 1924, le réseau compte aujourd’hui plus de 10 500 propriétaires dont le Relais du Vert Bois depuis plus de 6 ans. Les Refuges LPO sont présents dans tous les départements de France.
Dans un parc, un jardin, à votre porte, que ce soit à la ville ou à la campagne, la nature peut se révéler extraordinairement riche et variée. Même le plus petit espace, comme un balcon au cœur de la ville, peut devenir un refuge pour la nature. Malheureusement, de nombreuses espèces autrefois communes sont aujourd’hui en difficulté comme l’hirondelle de fenêtre, le bleuet ou encore le hanneton.
Vous pouvez agir pour protéger la nature et enrayer la perte de cette biodiversité par des gestes simples et un peu de bon sens. Le programme Refuges LPO apporte tous les conseils nécessaires pour protéger la nature de proximité, alors n’hésitez plus, créez vous aussi un Refuge LPO !