NARCISSE OU JONQUILLE ?

il n’existe aucune différence entre une narcisse et une jonquille car il s’agit tout simplement de la même fleur !

Il existe plusieurs types de Narcisse la plus connue est appelée la Narcissus Jonquilla. Elle se décline dans des couleurs allant du blanc au jaune en passant quelquefois par les teintes orangées.

Dans les massifs et les jardinières, mélangées à la rocaille ou investissant la pelouse (comme au Relais du Vert Bois), la jonquille est très décorative. Elle peut également décorer très joliment le pied de certains fruitiers.

Attention cependant à sa toxicité. Ne consommez jamais les tiges, fleurs ou bulbes de la jonquille, qui provoquent des vomissements.

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L’AVOCAT : UN LÉGUME-FRUIT QUI VOUS VEUT DU BIEN

Avant de parler de l’avocat en lui-même, revenons un instant sur ceux que l’on nomme les fameux légumes-fruits.

Le melon est par exemple un fruit qui se consomme comme fruit (au dessert) ou comme légume (en hors-d’œuvre). L’avocat est quant à lui produit par un arbre fruitier, mais ne se consomme pas comme un fruit. Idem pour la tomate… Les « légumes-fruits » sont donc des fruits au sens botanique, mais sont malgré tout aussi des légumes !

La découverte de noyaux d’avocat dans des cavernes indique que les Aztèques et les Mayas du Mexique et du Guatemala mangeaient déjà, il y a environ 10 000 ans, les fruits de cet arbre qui poussait en altitude en Amérique centrale et du Sud. On pense aussi qu’ils le cultivaient car des noyaux beaucoup plus gros et ovales ont été trouvés dans d’autres sites datant de 7 000 ou 8 000 ans. Lorsque les conquistadores découvrirent le Nouveau Monde, ils furent émerveillés par la « chair tendre comme du beurre », le « goût délicat et crémeux » de l’avocat. Du coup, les missionnaires espagnols interdirent sa consommation pendant le carême !

Peu à peu l’avocat, alors appelé « aguacate », est cultivé dans toute l’Amérique latine, puis aux Antilles, en Afrique, en Australie, en Israël et maintenant aussi en Espagne. D’abord considéré comme un produit de luxe, on en trouve désormais toute l’année. Selon les variétés, il est plus ou moins gros tandis que sa peau grenue, ou lisse et brillante, varie du vert foncé ou brun violacé.

L’avocat est l’un des très rares légumes à contenir des graisses, beaucoup de graisses, mais ces dernières sont bonnes pour la santé. Il est très riche en antioxydants, qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres (ces derniers étant impliqués dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres affections liées au vieillissement). De plus, sa consommation permettrait d’augmenter l’absorption des caroténoïdes, ces antioxydants n’étant solubles que dans les matières grasses.

C’est une très bonne source de fibres alimentaires (solubles mais surtout insolubles), ce qui a plusieurs avantages : une amélioration du transit intestinal, une réduction du risque de cancer du côlon et une sensation assez rapide de satiété.

Ses lipides sont surtout des acides gras mono-insaturés (principalement de l’acide oléique), qui n’encrassent pas les artères et contribuent au bon fonctionnement cardiovasculaire. Chez l’homme, une étude a démontré que le remplacement d’une partie des matières grasses de l’alimentation par de l’avocat pendant trois semaines pouvait amener une diminution des lipides sanguins, sans pour autant diminuer la concentration de « bon » cholestérol HDL.

L’avocat renfermant une quantité élevée de vitamine K – nécessaire entre autres à la coagulation du sang – il doit être consommé avec modération par les personnes prenant des médicaments anticoagulants (leurs apports en cette vitamine devant rester stables).

Les allergiques au latex peuvent l’être aussi à l’avocat, en raison de la présence d’une même substance, l’hévéine.

S’il est souple, il est mûr et bon à consommer immédiatement. Sinon, il faut le laisser à température ambiante, dans un sac de papier brun ou en l’entourant d’une feuille de papier journal. La chair de l’avocat s’oxyde facilement : pour lui éviter de noircir, il suffit de la couvrir de jus de citron ou de vinaigrette dès l’ouverture.

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L’AUBÉPINE DU RELAIS DU VERT BOIS

Une jolie lumière rasante m’a permis de saisir un cliché intéressant de la superbe aubépine du Relais du Vert Bois

La floraison des aubépines dans les haies et lisières d’une large partie de la France symbolise le mois de mai, autant par son abondance que par son parfum lourd et légèrement âcre qui attire les abeilles en nombre.

Très commune sur l’ensemble du territoire français, l’aubépine est un arbuste rustique très ancien (il en existe de nombreuses traces fossiles) au feuillage bien découpé et à la floraison généreuse souvent utilisé en haies ou isolé. Certaines espèces possèdent de redoutables épines qui rendent ces protections absolument impénétrables. Bien que l’aubépine ait une croissance relativement lente, elle est toujours très employée pour son peu d’exigence en matière de soins et pour sa densité qui rend les haies bien opaques.

La floraison éclatante au printemps (blanche le plus souvent, mais aussi rose ou rouge selon les espèces) laisse place à l’automne à de baies colorées ressemblant à de petites pommes : bien que comestibles, les baies « fraîches » (souvent de couleur rouge mais aussi parfois noire ou jaune) sont fades et farineuses. On utilise les baies pour la réalisation de gelées et de confitures tandis que les feuilles sont utilisées en infusion.

Autrefois les fruits étaient utilisés pour compléter la farine : lors des grandes famines, la pulpe farineuse des fruits était séchée et moulue pour être ensuite incorporée à la farine des céréales. Son bois dur servait à réaliser des pièces mécaniques, des battants de fléaux, ou comme bois tourné, on l’utilisait aussi comme un bon combustible. Durant la première guerre mondiale, on remplaçait le thé et le tabac par de jeunes feuilles d’aubépine et le café par ses graines.

Environ 150 espèces d’insectes sont liées à l’aubépine ! Ces insectes rendent aussi visite aux autres rosacées qui poussent dans les haies. À la fin du printemps, le nectar des fleurs d’aubépine attire les mouches, les coléoptères et diverses abeilles. Parmi les nombreux insectes fidèles à l’aubépine, on dénombre au moins 80 larves de papillons de nuit. Heureusement que leur régime ne se limite pas à l’aubépine, sinon il n’en resterait plus dans la nature !

Les baies de l’aubépine sont également picorées par de petits mammifères qui vivent au bas de la haie, ainsi que par des oiseaux qui construisant leur nid dans l’aubépine, viennent s’y percher et y chasser.

L’aubépine est utilisée de longue date dans la pharmacopée traditionnelle en raison de ses actions sur le coeur et le système nerveux périphérique. En particulier, les fleurs ont des propriétés hypotensives et sédatives qui les font entrer dans la composition de remèdes permettant de lutter contre la nervosité et le stress. Logiquement, ces propriétés sédatives et anxiolytiques sont également présentes dans le miel d’aubépine.

 

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LE PAPILLON CITRON EST DÉJÀ LÀ !

Le Papillon Citron est un rapide. Il est apparu au Relais du Vert Bois dès les premiers jours de Mars, après être sorti de son abri hivernal. Un bien joli messager du Printemps…

Il est l’un des papillons les plus communs et les plus faciles à observer.

On le reconnaît grâce à sa face supérieure jaune citron chez le mâle, ou vert pâle pour la femelle et au point orange qui orne chaque aile, quelque soit le sexe.

Posé sur une fleur, il a toujours les ailes refermées ce qui lui permet de se confondre avec la végétation et de passé inaperçu de ses prédateurs (oiseaux et araignées). Cette posture est d’autant plus efficace que la couleur de ses ailes et les nervures augmentent encore sa ressemblance avec une feuille.

Avec une espérance de vie supérieure à un an, le Papillon Citron (Gonepteryx rhamni) fait partie des papillons européens ayant la plus longue existence.

Réfugié au sein de plantes à feuillage persistant comme le lierre, les ailes repliées, le Papillon Citron est un des rares papillons hivernant à l’état adulte et le seul, dans nos contrées, à le faire en plein air. Les autres papillons cherchant plutôt un abri sous un toit, dans un trou d’arbre ou une grotte). Cette caractéristique explique probablement son hivernation « légère », puisqu’il peut se réveiller n’importe quand en hiver si la température est clémente . Ainsi, il n’est pas rare de le voir faire son retour très tôt au printemps, parfois même avant qu’aucune fleur ne soit ouverte.

Depuis quelque temps, mâles et femelles se cherchent et…se trouvent ! Après la parade nuptiale et un accouplement, la femelle « Citron »  recherche les rameaux de Nerprun et de Bourdaine où elle va y pondre à proximité des bourgeons. Pourquoi ? Et bien tout simplement pour que lorsque les petites chenilles vertes rayées de blanc vont éclore courant mai, celles-ci pourront croquer les feuilles bien tendres et tout juste épanouies…

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CHAMPS DE COLZA AU RELAIS DU VERT BOIS

En lisière de forêt, à deux pas du Relais du Vert Bois, souvenir d’un champs de colza au coucher de soleil qui ne demande qu’à être « récolté ».

Étymologiquement, « colza » vient du néerlandais koolzaad (signifiant littéralement « graine de chou »). Le colza est une culture largement répandue dans le monde (surtout dans les zones tempérées fraîches). En France, le colza est surtout cultivé dans la moitié nord de la France.

On le récolte pour trois usages :

1- pour l’alimentation animale : l’extraction de l’huile fournit le tourteau de colza, qui représente une source de protéines intéressante en alimentation animale, qui peut dans une certaine mesure concurrencer le tourteau de soja, mais dont la valeur énergétique est faible. La plante entière est également utilisée pour l’alimentation du bétail en tant que plante fourragère.

2 – pour la production d’huile alimentaire (C’est, avec le tournesol et l’olivier, l’une des trois principales sources d’huile végétale alimentaire en Europe),

3 –  pour la production de biocarburant appelé « Diester ». La culture intensive du colza pour la production de biocarburants utilise de grandes quantités d’engrais azotés qui produisent en particulier, lors de leur dégradation par les micro-organismes du sol, du protoxyde d’azote, un gaz à effet de serre 300 fois plus actif (en termes d’impact sur le réchauffement climatique global à quantité équivalente) que le (CO2) et ayant un plus long cycle atmosphérique que celui-ci !

Il est important de souligner que les fleurs de colza produisent un nectar abondant à partir duquel les abeilles font un miel clair, très riche en glucose, qui doit être extrait assez rapidement des rayons car il a tendance à cristalliser. Ce miel est habituellement mélangé avec d’autres miels plus doux pour la consommation directe ou bien vendu pour la pâtisserie. La présence de pesticides sur ces fleurs de colza peut affecter significativement les propriétés de ce miel souvent commercialisé sous l’appellation « miel de printemps »

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LA JACINTHE DES BOIS

Synonyme de fraîcheur ces derniers temps, le printemps est aussi synonyme de renouveau. Dans la Forêt de Bord qui jouxte le Relais du Vert Bois, c’est le moment de profiter du spectacle offert par la Jacinthe des bois (encore appelée Jacinthe sauvage) qui forme dans les sous-bois de voluptueux tapis bleus.

En effet, lors de la floraison d’avril à mai, les fleurs sont regroupées sur une grappe courbée et parfumée qui donne à la plante l’aspect de dormir.

La Jacinthe des bois est classée « espèce protégée » dans certaines régions de France comme le Limousin ou le Lot-et-Garonne. Par conséquent, la cueillette est à faire avec précaution dans toutes les régions.

La Jacinthe des Jardins est une variété « domestiquée » qui offre des bulbes de culture facile originaires des régions méditerranéennes et d’Afrique du Sud. Ces bulbes offrent des fleurs très décoratives et parfumées, de couleurs variées allant  du rose, au rouge, en passant par le mauve ou le blanc, qui s’épanouissent au cours du printemps.

En fin de floraison, il est important de couper le feuillage lorsqu’il a bien jauni mais et en aucun cas avant, car c’est à ce moment que la plante constitue ses réserves pour la prochaine floraison.

Ne soyez pas étonné si au fil des ans, la jacinthe des jardins fleurit de moins en moins, cela est inévitable. Il faut penser à replanter régulièrement de nouveaux bulbes !

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PROTÉGER LES ZONES HUMIDES

Longtemps considérées comme insalubres, les zones humides ont été drainées, asséchées et leur superficie a fondu des deux tiers au XXe siècle. 90 % des mares ont disparu, souvent au profit d’une agriculture intensive et déraisonnée. Les zones humides sont aujourd’hui protégées, notamment par la convention de Ramsar.

En France, on compte environ 3 millions d’hectares de zones humides comme les tourbières, marécages, marais, mares, lagunes. Il en existe deux grands types : les zones humides situées sur les littoraux et celles qui se trouvent à l’intérieur des terres et qui ne sont donc pas soumises aux influences du sel.

Les zones humides  jouent un rôle de tampon dans le cycle de l’eau et sont à la fois un rempart contre les inondations, un lieu de stockage pendant les périodes de basses eaux, une machine à épurer l’eau, et un vrai trésor de biodiversité végétale et animale, vital pour environ la moitié des espèces d’oiseaux.

Au Relais du Vert Bois, nous nous apprêtons à creuser notre seconde mare, après que nos cygnes, oies du Canada et batraciens divers aient colonisé la première. Jamais asséchée, la première mare a été creusée il y a 5 ans sur une longueur de 25 mètres et une largeur de 12 mètres. De profondeur variable avec des accès facilités pour la faune locale, son caractère naturel (absence de bâche) a été facilité par une géologie favorable où l’argile est prépondérant.
Ce dernier garantissant une excellente imperméabilité du fond de mare.

De dimension plus restreinte, la seconde mare sera située au point bas d’une autre pâture naturelle afin de capter les eaux de ravivage.

L’univers des mares a la particularité d’abriter un véritable réservoir de biodiversité. Des invertébrés aux oiseaux aquatiques en passant par les mammifères, les reptiles et amphibiens, aujourd’hui gravement menacés. La mare est l’exemple parfait de ce que l’on appelle « écosystème », rassemblant un ensemble vivant, complet et équilibré, sur lequel reposent les chaînes alimentaires.Creuser ou restaurer un point d’eau contribue à la sauvegarde de l’étonnante diversité de la faune et de la flore des zones humides.

Pour lutter contre la disparition des mares et le déclin des amphibiens, vertébrés les plus menacés au monde, vous pouvez vous aussi vous impliquer. Comme  l’humoriste Laurent Baffie qui en juin 2011, médiatisait la « fête des mares », en collaboration avec l’ASPAS association 100% indépendante pour la Protection des Animaux Sauvages que nous soutenons activement au Relais du Vert Bois.

Une semaine après la traditionnelle fête des mères, Laurent Baffie et l’APSAS veulent inciter le grand public à créer des mares en les stigmatisant comme écosystèmes irremplaçables. C’est reparti pour la nouvelle édition 2012, alors… à vos pelles !

Les 5 règles d’or pour une mare totalement naturelle sont les suivantes :
1 – Ne tondez pas les abords de la mare pour laisser des cachettes aux amphibiens
2 – N’introduisez pas de poissons, ils mangeraient têtards, larves d’insectes, etc.
3 – Limitez l’accès aux animaux domestiques
4 – Ne traitez pas l’eau contre les algues
5 – N’introduisez pas d’amphibiens que vous auriez capturés sur un autre site. C’est interdit par la loi et si les animaux sont porteurs de maladies, ils risquent de contaminer la faune déjà présente.

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PROGRESSION ALARMANTE DE LA DÉFORESTATION EN AMAZONIE

Selon les données recueillies grâce à des images satellites, le déboisement de la forêt amazonienne aurait pratiquement triplé au cours des trois premiers mois de l’année 2012 comparé à la même période de l’année dernière. 

La déforestation ne semble plus avoir de limite. Alors que les spécialistes ne cessent d’alarmer de la situation de la forêt amazonienne, les arbres continuent de tomber à un rythme qui s’accélère. Et bien au-delà de ce que nous vous avions dit dans plusieurs articles distincts, disponibles ici.

Selon des observations scientifiques de l’Institut brésilien de recherches spatiales (Inpe) , la déforestation en Amazonie aurait presque triplé lors des trois premiers mois de 2012 en comparaison à la même période de 2011. Entre janvier et mars 2012, la forêt amazonienne aurait ainsi perdu 388 kilomètres carrés de végétation contre 135 kilomètres carrés au cours des trois premiers mois d’activité l’an dernier. L’Etat du Mato Grosso une terre d’élevage de bovins et de production de soja, est le plus touché par cette déforestation galopante. Pas moins de 285 kilomètres carrés étaient déboisés en février dernier.

« Nous n’avons pas de crise de déforestation » a ainsi constaté la ministre de l’Environnement Izabella Teixeira lors d’une conférence de presse rapportée par l’AFP. D’après elle, l’augmentation du déboisement s’explique par un temps clair observé au cours du premier trimestre, permettant au satellite de surveillance de mieux repérer les zones affectées. D’après tous les spécialistes, on appelle cela « se moquer ouvertement du monde », sauf que cela ne fait rire personne…

Lors du sommet sur le climat de l’ONU, en 2009 à Copenhague, le Brésil avait pris l’engagement de réduire la destruction de la forêt amazonienne de 80% d’ici à 2020. Un objectif qui parait bien difficile à atteindre au regard des derniers chiffres révélés. En 2011, la forêt amazonienne a perdu 26238 kilomètres carrés après un pic de 27.000 kilomètres carrés en 2004.

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LA VIE DANS LES ÉTANGS, LES RUISSEAUX ET LES MARES

Sources, ruisseaux, mares, étangs et bassins de jardins grouillent de vie.

Il existe un nombre impressionnant de plantes et d’animaux qui habitent les endroits humides et il est fascinant de les observer.

Pour comprendre le mode de vie et l’écologie de ces animaux et de ces plantes, il existe un ouvrage qui ne tient jamais très en place dans la bibliothèque de mon bureau : La Vie dans les Etangs, les Ruisseaux et les Mares convient à tous ceux, grands et petits, qui désirent en savoir plus afin de mieux protéger les habitants des endroits humides…

Une courte description vous donne les signes distinctifs importants et des textes préliminaires expliquent le développement et le mode de vie de chaque groupe d’animaux.

Toutes les plantes et tous les animaux aquatiques décrits sont représentés par des dessins et des photographies couleurs. Des photographes animaliers célèbres montrent les principales espèces animales dans leur biotope.

Une importance toute particulière a été attachée aux rapports à l’écologie, afin de mieux comprendre les relations complexes entre les organismes et leur environnement.

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NATURE EN FRANCE : UN NOUVEAU MAGAZINE DÉDIÉ A LA NATURE

Les amoureux de patrimoine naturel dédié à notre beau pays qu’est la France sont désormais servis…et bien servis !

A la confluence des magazines existants tels Terre Sauvage, Géo ou National Geographic, le nouveau magazine « Nature en France » propose de nous faire découvrir avec une plus grande proximité la belle Nature française, dans toutes ses formes et dans toutes ses matières.

J’ai découvert avec beaucoup d’intérêt le premier numéro de ce bimestriel aux contenus aussi riches que variés. Si vous aimez les belles choses sans fioritures et si vous avez soif de découvertes, alors je vous conseille la lecture de « Nature en France ».

Vous ne serez pas déçu !

 

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